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188 LIVRE-X VIII. .€YPRI;N,OÏDES.
pour frayer.’ -On iles*4voit rarement)naussi. haut dans le
Brahmaputra! que dans les rapides^ et M. McClelland' ne
croit pasiquelle descende.assez bas pouirsentir l’influence
de la matée qui change*les dépôts de„\vase sur le sable;
action non moins remarquable sur les fonds.ou^les.bahçs
des t rivièreg que sut la nature dé ï Peau douce^ dont les
p oissqns. sentènt rtant les effets. I
Aptès]k,'cesc‘deux variétés,'1 qui doivent peut-être- biéfe
faire,’ ‘‘comme 1 le pense M. M’clelland, deux -ëspéséJ ;
remarquables par la longueur de leur dorsale, nous aVôns
à placer des espèces'à dorsale courte y tous les autres'carac-
tèfes tirés de la forme avàncée du <muséau/, dè- lalèvrë
frangée’; des quatre barbillons, se retrouvent Comme dans
le cyprinus nandina, on comme dans le cyprinns rohitd
de Buchanan. J’emprunte le nom spécifique- de • cette
espèce pour dénommer ce groupe nouveau.
Le R ohite de REŸiOEÀUDr £
'(jR oh ita RéynauldL, nob.
Nous avons une première 'espèce très-voisine du cgpri-
nus rdhita de Buchanan, mais que je. crpiîs* devoir >n\
distinguer, parce que la dorsale, est plus haute et plus
pointue de l ’avant , et que le museau est plus large, mais
moins avancé.
Le poisson durait assez bien la figure d’une carpe, si la
dorsalé .était plus longue.
T .a ligné du profil monte, par une courbe peu sensible, j usqü’au
pied du premier rayon de la dorsale : elle s’abaisse en conservant