: par le prince .«CbarfeX|r*imapartq
de:.Caniiio - qui, des'.CYiPRimnja '.sa tï©ÿ.tetrGïsièmer.
famillepcaractérisëe pauses Organes, que tousdes
iclithÿolûgistéÿicm^^risIpourbaséjdeéleur divbion, les
subdivise'; en deux groupes ‘secondaires ':«ieæo agcprininïy à
bauehedie plusÊSôuvént tentaculeé,« AJcarps muqueux jet
en éeâiües *.eaefaée&*&qus‘«cette couche -m u q u e u s e ^ e n
leuciscini, à bouche «sans barbillpptR, -et. àiégaillés, l solides
nom recouvertes«paréëette- couche, muqueuse«; puis?, les
pqecilidæ deviennent la trente-quatrième famillèy. ’carac^
térisée par da^pr^sence des dents ■ aux mâchoires^ «etUen
nombre dé ‘rayons - branchiostègesc;s,upérieuBjijà «trois-ciCe
n’est pas .ici lé> lieu de discuter cette .méthodqi ichtkyolo-
gique fa it^ u iv a n t des principes de -MdAgassi^,,-et dans-s
la^ud^. les cjfprinidoe* appartiennent à IWdtîeçdes* c jc lo iv
dées\, «dont le- caraeièretse, trouve exprimé, dans« ces na^ots :
s<maTM&lcei>q$^tratislaméllambusintegérrimispthpoMkis,
et dans lequel; les quatre premièresiamillès.se. composent
dé poisson^,a^eipp^couvent d un pipeau nuejsans auéùngg£
espëcesid’écailles*. Ge&groupesLspntuependant -si nombreux
qu’ils-réunissent plus; die troismentsf-esp^oes faisant exception
à la règle générale formulée pa,r -le caractère ‘dedprdre.
Mais la discussion de tous c,esrappro.cheme ns-nous,jette irait
maintenant, trop loinrde l’histoire des^c^prms.y «
A lbccasion d’un .beau et grandi.travail subites?cyprins
deJa péninsule déJ’Jmday qui a le grand mérite dejnous
faire bien connaître les espècës si nombreuses^de^èes icon^
tré^^et de; npuskider.àicomprepd^.les travauxjvdpsavaut
naturaliste, le docteur Buchanan Hamilton, ddhtdes descriptions
ne sont pas malheureusement.tdujours.assezisuf-
lisantes, de sorte que l’on ne peut guèregse [servir avec
exactitude -que. dés excellentes ^figures dé cet ouvragé, un
chirurgienyattaéhè au. servicemédical du.'Bengale;.M. John
M’clettand-ytrèè-versé.dians. toute la zoologie y a fait précéder
son; mémoire dé^ses^voes sur las classification des cyprins.
Il pmpose:sde*ld'èviseï'me.tté:grande'famille«, en trois ’autres
secondaires : uneprémièref* èomprèmdrsrÈ psous < le nom de
^GEOJV0lÉ‘îrJ^'i(€I^s^tS'?, qui îsII ^nourrit; diherb e)y> tous les
cyprins a régimè^lpécialement'herbivore, dont la’:houcghe
élÉ pem fendue, .et *kë> panai ; intestinal très -T- long- : < cette
famille correspond:a\xx"ejprinini du princè Charles Bona-
partep e t aux premiers.;genres du- règne*; animal jusqu’aux
leuciso'âs’-deéet ; ou vragé/flShe secbnde' famille «réunirait les
esj5èhe'ëfe£'G'a-Tmssïèré% aussill’auteur l'appelle; særco'Iorin'æ
('Sâ^o5'%og|,licarpfvore ) : «see*sont les-leuciscini {Ch. B.). Par
opposition aux pré cédons yle Ganalrintestinalsest plus cOiàrt,
et laiiteur signales la pebleoproéminfene e *;de - la symphyse
de; la mâc'hoirfe1 inférieureceomme* hm vestige4 de* dents
pour «arrêter* la proije. J e u d i s &ei que; M. J<. M’clellànd,
excellent observateur dës’Osp^Gesündiepnesy dontplusieurs
vivent presque îexehisi vement dlkisectes, a trop prompte-
naentr-gé.néralisé. dans' ,ce casp et peut-être aus^i dans ce qui
regarde la première1 iamillp; car tous les; cyprins mangent
dessers avec aôtamt'd’avidité que' le blé. Enfin,- sa troisième
famille s correspond; aux è,obitiSïpt auxr pqecilies; il leur
donne I@32nd.rn d’AP^LO'PTERi^Æ^fiî'zs-ÆAoe, moufj et ^lsçcv,
nageoires?); famille, a'jfant de trois àf six rayons à; la rnetit-
brahé branchiale, leteoips muqueux, un intestin eourtr.e|;
point de-rayons épineux aux nageoires. Comme fâiitêur
y réunit les cobitis e t les;poeciliés, -il ne peut pas prendre j
comme'ses prédécesseurs, la. présence des dents aux f mâchoires
pour un tearaêt-èf#|SppérieAi.r J e pe spivrai pas