11 y a- quatre dents'pharyngiennes à> couronne obloague,5 à un
-seÊd; sillon! et de couleür nîQifitjï fj
La dorsale est moins longue que celle de-l’espèce- précédente,
quoiqu’elle occupe encore *la maoitiéi-au mbins de la longueur du
dos.' Le rayon épineux est bien dentelé:1 Celui de l’aüale^est- plus
fort et un peu-courbe. La caudale -a 5sês lobes larges et arrondis; Les
autres^ nageoivesïsbnt petites. 'é
'1 ! d. 'i/ffflÈ 1sy!f't:.r- 5 ^ i —% 19 f r . 9.
Les écaillés .Apnt^R®es»fstriées; et grenues. Je n ’én compte que
vingt-sept rangées entre l’ouïe et' là caudale, dtiuze s,ur lavhapteur
la ligne latérale, qui,’est droite, est; sur la sixième rangée.^.
-Cette carpe a le dhs vert olivâtre* àùrdessous Tdalgpigne latérale
‘la teinte devient plus claire* et |es^ reflets d or es jfê ni plus brillans >
surtout sur la ré,gîon des pectorales. Les nageoires, verticales sont
verdâtres, les-Uagebïrés pairesont-jaunes. La joue et les opercules
ont une couleur dorée..fet la nuqbe est.'olimfcrei.bLe/dessus du
museau est plus fpnc^-^
É Ce poisson, qui* habite les - rivières'-Së "Mâl^-d^Frânè^,
If est estimé M. Dussumigr jne** nous, pairie.,pas de la taille
de cette carpe : l’individu décrit dans cet article ëst long
de sept pouces.
Je pense qu’il faut encore rapporter à cette espèce^, en
les considérant comme deffPvariétés, çW jSpissppsjà dents
pharyngiennes semblable^ par la forme. e{ pour-le nombre,
et dont le troisième sous-orbitaire touche encore^ au limbe
du préopercule^ quoique .ce.sous-orbitaire paraisse plus
rétréci.
Cps poissons ont le lobe de la capdale plus, éfroit. D’ail-
leurs;jces individus me p a r a ien t avoir varié par la couleur
comme noâ poissons doBjfe^car, ; outre ceux, rapportés: par
M. Dussumier, MM. Desjardins, Quoy et Gaimard » Lèsson
et Garnot, èh. ont aussi cônservédâ®is letfr éofiiitidhjèt les