3'.■•;4Ses.îobse rva tions répondentfj e crois, 4» la eritiquëdattë
noïdés para celle - f e la Carpe!- @ëlt£lte ' t©us: » tfôs^c^priris
le -poisson le plus abondant, le uaiéüx connu p e e lu i’sur
lesquels- -les >faits qui servent île qioin¥l de
comparaison, peuvent être vérifias aussi ‘facilement- que
sur la peïdae'i&ilnôs^angs.^J’avoue, d’a ille u ^ qüeiujë
trouve
que je ne Saisis -ceux qui lient les colaitis aux *gàaÉés êt? aux
anguilles. • '
Ceux dès cyprinoïdes qui? onfc le^cbipS coüvéft d-éè&iilïè'ss;
■ ont -cës7organfes formes i n Isanns à
lisges, entiers et parallèles^ comme les scoinfoëiiMd^i^êiïtre
autres*, nôus en offrent des exemples dans les aeantfeopté1
rygiens, et plusieurs ,autresi?èyprinoïde^^Ë'diess!striêS*en
éventail sur la portion radicale de leurs-éèkilleS^ -coiïime
feauedup de^pewipïdesrMf i
* La^nembrane- branchiofëè'géa: trois rayons CottS eftè’üûr1
bés. -Les ventraleS j quand eiles^xistenf^sont-îÀ|dominal®Sy
e t rejetées Sous le ventre ;•• ordinairement sÉfraplomb de la
dorSalë, quand elle estjcoün'è^tet qui' lèur^ correspond
tantôt-par 4e premier, mais souvent par lefderni e r *fô>y o n.
ïlLes - eÿprinoïdes peuplent les eatix douées* du monde
entier; quelques-uns descendent dans lesdleuyes jusqiLau-
près de 4eiir
saumâtres; mais on ne peut les désigne rSidune maniéré
absolué> edmme-dés^poissonÿfde mer, quoique quelques
auteurs aient!pàrW'deîpoissons d q c ë ttè famille ,1 vivant
hal^ûelfement- dans l’eau s^éésïffinl gérerai;, les^ eSp^éeS
appartiennent à l’Asie et à rEuropè ; ;0ar il y ema peu en
Afrique. Je n’en connais pas dans les eaux si abondantes
deh l’Amérique ! équwat®xrale ; mais celles^ de l’Amérique
septentrionàteyen) nourrissent - plusreurs espèces; ■ f
sî;,'Les.\travaux d e M.,Agassiz nous: ont’fait, connaître quelques
- •eyprinoidës .*f@isâfes ; qui proviwment desf terîains
te rd a ir^ d ^ u d o u e e p e t- qui ressémblent beauconp à nds
espèiiÿii d>Europe^.*.u
êdQesfcyprpioïdes, le s fmqins c ar nassiers des poissOnS, sè
nourrissent tous dé /matière-ïvégél^leyref aSÙÆoùît de süfe's-
tance^sorganiques en, décomposition ; c’est sans douté pour
l’assimiler qu’ils avalent souventmne saàsez??granJe quantité,
de limon , tenant- dans son.mélange bëauecnlp^defBubstaice
nutritive. Ils mangent aussi^des grainesret i&mjfettent sur les
v p ^ p tsu rle s insectes. iLe genre* de nourri pire paraît varier
ayeq. les^,saisons ; ,ear les; personnes, qui ^sktJ@nnenr*à la
pêche, ? savent que pendant.êtelle? saison * il faut-amorcer
ave^ldes-, pains fJe inèmepioâssonîïqafà une outre époque
d|elkm«ées on prendra* à la mo ueherou* au1 Ver.*\fl !
* „Quelques espèces de«.cyprins attaquent aussi* lés petits
p©issons*.i Certaines- espèces'vivent isolées,- d’autreà.sétien-
nent,en! petites troupe spet d’autres, enfin,«font!des bancs,
comparati.vement M a màssej^eau, aussi étendus que des
harengs. .Ainsi l’on pêche rafelittef av«#deifnappespqui
représentent en petit la pêche,-du hareng, et on peut
quelquefois prendre dans une seule<«nuit4 plus- de mille
individusftde^cëtte „espèce, i
Ees observations que lÿméfegfi sur ces poissons., m’ont
aussi prouvé que plusieurs eyprinoïdes sont sujets' à une
somnolence hivernale. J’ai trouvé un tronc de'saules^üe
le pécheur,ï,ay èc qui j’ét%,:-avak atitachéfà : la^mbrlpie
dp-son bateau pour le ramener; chez lui pafîm de le brûler.
Ce, „tronc d’arbre -fut traîné et remué ' pendant plusieurs