L ’élanga est^un sbeam poiâst>n, très-commun dans les
rivières et les "étâtfgs du Bengale. '
M. Jôhù Melèllând ünè figûré, tab. 56,
fig. 4 ? où les deux petits barbiuô’ns §ont oublie^ : clans
le texte,, il les piacMâe chaqueîpôtë de la bouche.ïll est
fâcheux qu’il ne,,dise pas àiV;^e:sont ^ 5 barbillons maxillaires
ou labiaux, ha tournure du poisson me fait ctôire
qu’ils doivent être des premiers; et alors çe poisson,serait
une cirrhine, Malgré sla présence barbillons, lM. M’clel-
land en a fait un leuciscus sous le nom: de L . dystomus.
Il ï a, reçu du Brahmapütra dans l’Assam, éi dans 'cltte
riviëi’ë il ne p’â irait pas aussi eoinmun que dans les eaux
où Buchanan Ta obsery.é; ;car M. M’clelland dit que! sa
chair^est de*bon gp&î*®ais qu’il uest paRj^sfz abondant
pour, acquérir quelque degré d’importance, jSp-nourri-
ture^ÇQP^ifte j en.r petits poisson§ , ; en insectes,, d °n t il a
vu les débris dans Testoïnac.
Il est très-probable qüe le pçis^uj d!iètitTt;i -'dfeSSOüs
est un gô'bio. M. Bùchànan *Ta* Cependant presque confondu
avèodè erp. rerio, qui est très-éloigné des''goujons.
L e Cyprin cha^ eio.
(Cyprinus chàpatio, H. B., p. 3go, n.°.56, p. 324-)
Celui-ci est un danio . ,
à corps un peu comprimé, avec trois lignes bleues de chaque-côté,
et deux barbillons plus courts que la tête.
ii Ge chapalio resseiiible au C^pru r^Çio>,qui a cependant iquatre
barbillons. Sa forme y çaqamç. pelle du (Çÿpr. pftoaçinus ),
est ohloogue, ;peu .poropripiée, La tête; petite .et pbftuse ; la bouphe
fendue obliquement ; la çnâphoire inferieure plus longue ; le dos
à peine arqué, tandis que le centre saille h&ajjcpup. L,es, épailles
grândes et très-adhérentes. Le"dos est brun;, le* ventre blanc; les
bandes bleues dés cotés 1 sont séparées* par des lignes" durées ou
argentées,1^* I
Le Chapalio e^t un joli poison, Un pm pim; lphg que
le Rerio,:-.ô,ji le.trouye dans les marais du Bengajç.
Est- ce un 'goujon ?
Après toutes ce's espèces, Je vais placef tous les poissons
qui,’ tîènnerit- des' Leucïsous, de ‘Cuvier par leur bouche
sariè barbi'lloris’i ^ar* leur 'dorsale sans- rayons épineuxfël
par'‘leur courtd%rialê. On retrouvera p'arïhi cë's^ espèçës
plusieurs , poissons semblables à ceux qui sont devenus
types des sous-divisions de M. Agassiz ; mais les caractères
consignés dans, ces ’descriptions né sont pas suffîsans pour
placer les espècps?^ t
: lisent, peut-ë;^e paru plus naturel, de ne parler, de ces
poissons qu’apRès la fin du chapitre qui v;a ftçt traiter; mais-
je nai pas voulu multiplier ces‘ sortes d’appendices.
L é Cyprin" " barila. v n
CCyprinus barila, H. B., p. 384, n.°*8, p. 2 ;
C’est un Barilius sans barbillons, '
àyânt des deibi-bandes sur lés côtés, huit rayons à la dorsale et
treize I l’anale.
R. ^}îPj;8; A. 13; C. 6_; p. 14^ jy, 8.