CIIÀP. h CARPES» 61
Les dents- pharyngiennes sdnfc plus’étroites' et moins nombreuses
encore que1 dans la carpe ; le tubercule, du basilaire. estplus' court,
plus haut, et a sa surfacl grenme,:au lieu d’être lisse»
La,ligueur deda, dorsale mesure leviers de la longueur totale;
sa hameur, plus grande quenelle de la dqijsajle ,de la gibèle,;&it |a
moitié de l’étendue de la nageoire,’ et est comprise deux fois etl
demiessÉi^lement dans la hauteur du cqjpstsous elle. Le.premier
rayon est finement dentelé^'et l’on*voit très-clairement, dans les
individus que‘^âi‘-rapportés de'JaSpréè’, 'que1 le -rayon solide, etl
-. epineux est cttÉefpOsé ' d’articulations nombreuses et rapprochées.
/ La,-?ventrale, est plus longue que la pectorale; la-caudales est
p lh tô l. j§bhancrge que, »fourchue.
’ > B, 8; D. 441^;- a. 3y6;,jGnnj P. ,
^ ïe -b om p të ’trente-trois ra n g é tt^ e ^w è réA fre l’BWe e%l§:caudale•
' sur quatorze dans la' hauteur. Leur isürface nue rfst'ïfineftient striée I
en rayons ,7et?qe compte septfr^çmsjne^^à ,1’éventail. La ligue
latérale -égfl un peù, cq^baüje. et -ff rmée par^ Une suite; de tubulures. I
L? »cpj^leuç.est un yeyt, bouteille dbncé;> à reflets, âpres., *
^ÿL^visboees _ ressemblent jbéauçoup, à*.ceuxt çle là ,carpe» a "cela
près, quils sont moins alonges, étantj.contenus- dans ,une cavité]
( abdominale ? pliMScourte. >
* ^e.^âne de!n^W^ôn^%st^lts^#6ndi, mêm'è Sur 'd ^ r tà o n ' |
^fcipila’le yles^b'cïpitaux sripêriemV n’orit qu’un ;simple petit
•tubercule ; la crete înterparietale a^son>leontoujir **postérieurs à']
"double courbure.en,S,- e%Q|uïh,e »presquq, par
(';rj6^re jet,,saillante, k la - crête ^ la seconde Weç«è|ife,T qui a son
bor^ 4W#i®'“ r f^i^M^gostérieur, naine,tranchant
^presque droit, de sorte.que la ^ête n’est^mspeu élargie cjde par
1 addition de l>apoflhyse .épineuse dé^ la Jr^ sieml vertèÉré. L’an’g^
Phg | transverse' dedà secondé vértèbrf MfsemMif à5 cèlîf^dl^a
carpe; celledfe^'H?6®ièr^e est plus grêle',^lns dirigée en avant;
»ëtîa'sa lamé postérieure. pîusvdifoitïJ et p'resque sans trou sous le
- c o ^ de « Vertèbre; lo'sVêletfde Webber est; court, mais semblable
àl celui de la æarpe. L’apophyse du basilaire descend d’abord