CHAP ITRE V:; s.
D e s Oreinus, J. M.
M. John sJVL’qleüand a qrn (dfvoir
les espèces qui ont la tête charnue, le museau, avancé sur
la bouche, fendue ,en dessous ? et dont la fente 9est diri|ée
vers le jbaspa
la supérieure. •:. ^.ski^asq «al
Il ,y„a des barbillons; mais l ’auteur n’en indiqueCni le
nombre ni la position. La dorsale a pou* rayon -antérieur
une petite épine dentelée; les écailles sonLtrès-pebtés.,;
Le tube digestif/a une napaçHé.pluSclou moins grande,
et une longueur qui surpasse dp cinq .à 'su |o|S( celle du
corps, la caudale . çompijis^. JfJ
Les trois seuleSfPSg^ç^jgqnpu^jjde^ g^jgenrg^i^pt Herbivores.
L’auteur se fondé, pour les distinguer, sur la
forme particulière de leur bouche,' qui’ semble les ’rapprocher
de Ses goulnhÿnqiies, qüi ‘ne°sdht paé^èùx’dfe
M. Gûvier et dé Gronovîus , quoi^he' lé éhhal îhtéSïinâLét
l’épine de la dorsale leur
barbeaux/ F -* i' v' ‘ -H' 1
L’auteur n’indique lé nombré dés barbillons que* pour
la deVnîèire espèce pQt il les signSd#
Je n’ai vù aucüne de èfe èàpièés, qui'âiè’pafafiSSent'dè-
voif. entrer ' dans le ( genré des 1 barbeaux y mafs fè!“nèTai
pas fait, pour ne pas confondre ce que jai dêéHrda^è's
nature1,1 ou ce! que l’induction mè directement,
avec' des l 'espèces*- encôrè doùtetises' pour in'éK
Gp chapitrefest donc ùnêsoTted’appendiée! au *genVes-des
barbeàüx.' ’
PRcAs-ferRE.
? (Oreinus progastus,'fi-fÉ,1tab. 40,• fig; 4-) 1
La première espècéy'dôrit l’auteur nous a aussi laissé
une figure ,i}C'
’a lê museau charnu et poiritii ; la tête petite ; les, lèvres épaisses ,
tressaillant sbùs
les pectorales.
uOailfc ifèébniMîlPd’âtlleiirs aussi ( à la-longueur de ses sous-orbi-
! s s t&irè® ideveuaSi um 1 cercle étroit i sous lkeil; la dorsale est sur. le
milieu ‘jdpaèçxp^j ^ & pae épiuft fptjé ^ 4^telée^ ,
D. =12 ^ CT. 19 ; W i3f f . 10.
L’estomac est très-grand, d’une1 couleut èrune ou rougeâtre
asses fonèf©, Les intestins sont ae^lHngnèUr m^îowe èt remplis
flê MautrèwVëgetâlé rèauïté^èd'Uülpe : ils^sént^bruns;
„«^e^pi^oiiissp. trouve dans les ruisseaux du haut A|ssam;
il y^^tpipicè j^g°u,;lini]t üy^gsMtef dpYîbmt long d e ( 4i^~
hpjj; i sRÇUfiS? JLRft 'idituqû,çuSfi ^^prr papse^ jGeux qui là
mangfpt -le:/ [ àe. ■ raison \
sans aucun dérangement d’estomac. C’est le plus herbivore
de.tqus lp§:barbeaux,,et,>|Çomme les ;goujons, ,i| se
g4te prç|nptep^ent)'apîj^i la fnpift. On trouve. beaucoup
d’Huile, daqs,,sa,,cavité abdominale, qui est peut-être la
pause - dçs acp^deuSj Suïyenusrà la suite de son ingestion
dajps,;!’e§tpmae. ;
, M?> Qriffitb ,.,à. qui lb n rdQ itsla découverte d e ,c e poisson
, §ts q u i >èu conuait mieux les habitudes que M. J.
3\Hçlelland,,dit qu’il se tient de préférence dans les rivières
de l’Assam à l’endroit où le courant est si rapide qu’on ne