CHAPITRE XII.
D e s J^abéons. y
* Tâi ! déjàdîaftP riÉfiafoffoéï 5,~én I -traSÉatit
dti gëûh ^arbus Ÿ^î^eh - p&ttMulier^ des rièh k é } (^ & ^
d'âtatfôrfe5 idëà dàb^ïïs d its le BÉgne
animal. J’avaisf eri ’ ’effet, depuis bien5 lï>frg-?téra*ps
que'i#-)^ r ^ ^ - - r a f o ^ ^ iidÉ3F ^ l ^ ,^ û S ^ T O â ^ i :^
s t f r ' H à d i y i d Ü T i ^ ê i a ^ ;
■MmSmkm dfèhx
à'trois lignfès^ Gët mdividu^ëséite ënaôŸé^^ela -de* rntear-
qüablbyfi®8 le barbillon*du-*cètë gauche- est d i l a t e r a
Bas# ët ^ê6^ 96P^le^S^||W c|feë@ P 8ëteî3dp^l^ti dtoit
qui seul £St bien dëveloppé'^eest, pèut^-être f *#* é& rëas
^ÿttrcuKe^M^êfoPteaÔd#5 qtf ïï faüti: Mtribuët^d^mur
qui â^ëéé^cummisë dêâd’ânuëê ^uis ?éità%tamiiient
rifBbjiiëe j usqu enri ë 3É> f uufM. Rujpp |11,: *qui # déèfi% â e
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sur !i 6T£*fàhîèàl F 6rMMëM&:béièbië^nf^etr # j5rèf%féë
albïfc titre *fj$®ït£té BKâfcfôifequ# duygëftrë* W dfagbôse
devenait plusa ëôffèctfe ^tro celle dë" 0 (iVféi|4 BrfJfe^|^-
mântaTfi/si-161,1
Làb'eù 'maoùïlld ^superioiëpromineiitè, tumefâcta,
camosa, oris margihe tripliez, ad angulum ossis- maxil-
làri^hiUàfîbs^)îhH>ùî0 , $t'dU1';
n 1 1 1^ je n e fes É s p a r qùBlë fàtaïë erreur ràutëur à lïhstànt
gâte lé genre qu’il caractérise hi bien,, en V introduisant
des espèces qu’iP n’a pas v u e s , ‘^ ‘parWi5 lë^tféllë^le
cyprinus rofat«, a, comme» on l’a vu plus haut, quatre
MrbilosspÈfi
La fausse expression?" du geiire Labéon dans le Règne
animal andès-rlors embarrassé beaucoup les naturalistes, et
surtout les voyageurs qui, n’ayant avec eux que peu de
jessositfois, devaient surtout ajouter pleine confiance-,à
l'exactitude ordinaire de M. Cuvier. C’est ce qui explique
comment Ruhl et Van Hasselt ont imaginé, à Java de:
créer un genre Labeobarbus pour une belle espèce de;
labéon de la rivière de.-Bantam. Malheureusement ils ont,
pendant leurs, courses,' associé à celui-ci d’autres poissons,
qui leur semblaient trop difféffp»djes barbus, et qui cependant
n’avaient pas les caractères véritables de leur labeobarbus.
;bom, et plusieurs autres de ; leurs travaux
préparatoires, payant pas été adoptés, M. Ruppell s’est
servi de j’expression de labeobarbus pour caractériser un
genre£.;tout différent,
Non-seulement M. Cuvier avait mal caractérisé le genre
Labépn, .mais il avait réuni au cyprinus niloticus le cyprinus
jmibriatus de Bloch, espèce à lèvres frangées sans
voijle supérieur, et trop douteuse pour être rigoureusement
un rohita, mais qui n’est pas un labéon; j’en ai
parlé à;l’article rohita. Puis, M. Cuvier comprenait encore
dans ses Labéons le catastomus cyprinus de Lesueur,
poisson différent des catastomes, il est vrai, mais sans
barbillons, et qui ne peut être associé au cyprinus
niloticus.
. Les espèces du genre Labéon sont toutes exotiques et
de l’ancien monde : le Nil nourrit les plus anciennement
connues; il faut ensuite ajouter à celles-ci les nouvelles
découvertes dans l’Inde.
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