C H A P. XII. LA BÉONS. 265
La ligne fatéràle n’est pas très*marquée la dorsale est : cour le et
pas ; très-haute ; l’anale est'pointue; la- caudale a: des lobes larges
- l’et»‘arron>dis.
D.
La ‘couleur est un beaiu doré1 sur l’écâille,'et le limbe est violacé
ou argenté ; des nageoires sont décôlorées.
Ce poi^jû-est, long de £e|zie,.poucfs. On ne nous a pas
donné de renséignemens sur ses habitudes, ni sur sa dénomination
dans le pays d’où il provient.
,, L e L abéon
; (L a b eo cep h a lu s , nob.)
,Nqus avons maintenant à signaler plusieurs espècèrS: de
PInde. L’une d’elles offre plusieurs traits de ressemblance
ayécle labeo mloticus, et elle est cependant bien différente.
,
La ligne .arquée du profil du do# s’élève depuis le "museau'et1
renfle èn se Soutenant entre les narines, au-devant* des, yeux ; elle'
devient un peu concave s u f le front, entre les yeux, puis convexe
à la nüque, et sé continue telle jusque sur le dos de la queue^où
elle'se'fcreuse tout-à-fait. La ligne du ventre ést presque droite jusqu’à
l’anale, où elle se réïève pour suivre ensuite le*dessous de-la
queue. La plus grande hauteur fait le quart de la 1 oiîgueur’totale-
-l’épaisseur n’fesfpas moitié de la hauteur : celle du tronçon, de la
queue est comprise deux fois et demie dans celle du corps. La tête
‘ est 'Oolârte, * renflée: aux ouïes ; sa longueur est près; de ;cinq fois
dans la distance dit bout du-museau à la fin'de la caudale, et
5| l’épaisseur aux opercules ést dès quatre cinquièmes de la longueur
de la tête. Le dessus est lisse; large entre* les y eux.; de près de
quatre fois leur diamètre ;^Vt la distance^ du' bouti du museau au
bord du cercle de l’orbite égâle le- double du diamètrè; d’ailleurs
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