de? tous sIcelui eauxabritent en cÿprinoïdes.
dhes-8 teâjuxfc dopces ; fAm ërlquQ) même* SSjBWftfi
triôi$Sfe|! Sôiit sl)ie# ÎMn de^^otirrp uuë akssi^^Wfe
variété de^OyprïüSs' «
t î Quelque fiches «que séiioçAêsieolteëtions du Cabinet
du dloi $ douS n%¥ôt|s^en^ôÿët qu’Unu^ecit nombre de
cèfctê *graSd^^Pâiitité^ dfe$|)@©eSi &t
» ]N^&Wl^ofls -perdu pfëtqute to us les p oissons re cueillis
pendant le voyagé de?À|ctoc?JacquemGnt, |t nos5 collecteurs
les plus actifs^ comme M. Üussumïe^eMuWpUjd'ÉÉrs
obligés^de* réètei^ëur la ©ête^ar la nature de leurs nffakfes,
n p p t ®ëuni%uëtîe# côtièfel>de^tÿpHn#i#èSpd,|s f i
à-dirëy le plus petit nombrë<dë?îëë&
Deux ouvrages importans ont fait connaître les poissons,
d’eau douce de la-péninsule deA’Imdë: l’un est celui de
M, Hamiltôn Buchanan ; lautre est la monographie publiée
sut les cyprins de rindeT^recialement.- Nous avèesytlftns
lecoursdeposwe^eV ckes^;rappoEteaux-espèces quenôus
déGri^i^^j'fculteuque ikousAetrouvions dans;* e£scauté urs ;
mais il eh fiàt .uaTgraudÿnpmbre sur lesquelles il modeste
dè telles dnceflitudes que j’aurais, sans a®cun* doutey altéré
les rapports naturels des :diviMonsietabliesHaità cewolume',
en les y introduisant gansilesia^oir sufeammeritepçopnniesi
Ge$ doutes sén*|la3oistséqu1ehee de la méthode 'que lel
deux auteursjont suivie ; ils n’ont?, nid’un ni ràutæev^tudié
avëô assez' de» soins e* compris laméthode de - M^Quvier,
qui me paraît bieir supérieure à la; leur, hi même rréuni les
cyprins d’après les vues* qui ûi’ont guidé ;dans la rédaction
de leur histoire, de sorte que les genres net sont ni carae*
térisés'. d’aprèsbdes organes .assez; importans $poui’ fournir
des çarafâ^K#^ génériques^ Ui toême asseA opposés les uns
aux autres.; Gersont des caractèj'jes déjdouleur disposée par
bandes ou par taches, de grande u r plus oumoiifs appréciable
des. jéeailles, quîijsont cpnsi^^s dans les diagnoses
génériques. Pour faire apprécier ces rerharquesf jedtiass
exposer ici l’analysé des?] genres établis dans;©es J deux
OUwagfeSÿdéf fon seconyainQrajqe^pense, de la; vérité de
ces observations, qui ne ^ntqxaslici,présentée pour faire
travaux re eommandables'’ et
quif serviront beaucoup à l complète t, rhisteire,? naturelle
d e ;cÿp r i n o ï d e^j nde^ 1’ I n d ê 14
,j. B u c h a n a n n’a point. fait attention aux différences
anatomiques de.* çes‘ cyprips. 11 les a subdivisés; en neuf
genres de la manière suivante ;:
f PR EM I ÈRE DiyiSIO^.;
GHEIijA.
, Ge sont des poissons du genre • Oppmnus*. ■. reco nnais-
sables, au 'tranchant de leur abdomen ( entre les ventrales
et- XanaleU Leur; corps est: long^ -tfès-rcomprimé> la tête
est. petite ; A èn fer de larie^jou en lame deiaouteâfu ; ils
mont!.' pas * èeslbarbillons. M. Buchanan y. crange;Csept
espèces, qui Sè Teunissent autour du cyprinus cultratus,
L., et;du (yprimidclupmideSjM .iGë^ent groupe parait
assez naturel,; la carène du ventre et la forme particulière
du.corps feraient assezabiën réconnaîtreiles espèces* si les
différences'.dans les nombres des rayons des; ventrales ne
nous laissaient dans de grandes’incertitudes sur leurs affinités
|génériques; hauteuridit. jqu’elfesi diffèrent; < à peine
des cZupanodons, Eaoe? mais qu’elles s’en distinguent par
le petit nombre? des rayons de la membrane- branchiostège.