Ce poisson vient^deï Bomba^ d’pù M. Dussumierffa-
rapporté. Il est long de^uatrepouceswîèt demi p mais il
atteint jusqu’à, un pied.^ - n
:;C e naturaliste; nous apprend que- c^' jMfeébir vité^ la
merj mais, que dan§ les débordemens" il vient -Vifte
dans l’eau doq.ce des. champs de riz. Sa chair est djjassez
bon goût, mais .pleine^’arêtes l’e&pèce.'est très-abon-
danteiàBomba^.
CHAI*!
Des '4]>ififMnés §j
L’établissement^du gerfre td^Cirsbines: par M. Guviet
m m iïoüvel exemple que dàns les grandes monographies
l’étude des^ètrés faite sur nature p e t comparativement à
tous^èeux dont’ îfe^sdnt rvoisitosy est> le.Jseul guide rqui
îïb‘îfs¥fâêsê p^écisdë •le'^>diagftos’feS deâtifMés^lu feire reconnaître
les Coupés* ^éûériqües.
M. Cüviëfy aptes avoir détâéh?édls barbeaux les .‘espèces
fvbisinesvdij|goujons et des tanches,'rgaris les; arv-oir assez'
nettement; caractérisées',‘ voit dans Bloch, ünèrfigure d’un
cjprinus cirrhôsus, dqjUt les barbillons îsou t au milieu
de iM'dè¥re jjupérfeure'; frappé ce caractère ,**il .sépare
cêütë‘espèce éU un-genre particulier qu’il"nomme.Cirrhine,
éfëifè5 càràètéris'eïâinsi : « dorsale plus grande que les goujons,
, <$êt lis barbillons Sttrle milieu* de laïlôva’e?supérieure.5>
'^■iL’éfudë que nous Savons faite des'autefes C^prinsà bar-
bill'Ons.*autour de la bouche, montre qu’il fallait'spécifier
davantage-la place’des barbillons; mais que, d’ailleurs, ces
ô¥gânes' n’ont pas une impo'rtânCeïàss'ez grande pour caractériser1
u n groupe autrement que comme une: division
qui est commode pour trouver par ces »points- tdêutepèrë"
lis affinités des'nombreuses espaces du groupe 'des'<cyprinsi
D’ailleurs;"lï. Cüvièr, qui ne décrivait pas alors lès?espèces
dé manière à les connaître Jjusque dans -leurs plus petits
détail#f‘ associe «dans la - noté# le cyprinus mrigala de
Buchianân d’après l’inspectton seule dé sa figure. Or, cette
espëcë vse rapporte tout aussi bien aux rôhites qu’aux
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