I J.’ai examiné plusieurs de#J^%^arjgtés.>, que j e regarde
e*»mme de, véritables monstruosité qui» changent: beau-
çpup , .$oit p a r lç a fb r rn e% ^ des
r ^l g e o J ^^i j ^m. . e t u l e ^e t ^; ont rapporté plusieurs
assez curieuses qui, aveçr celles donaég^au Qabipet
ç|ÿi Roi, prig^j ^ompLe $pi
^^autli^iaud', m'optai tjf^r%|es^.obspiifttifSlSï^àf^l1^ 8 :
.Un , long«?seulêment ïdei?trbjs ppuges
§&demi, afele çOrps asseaseDablable aux doEadesl'Ordiîidir^s ;
la tête est peut-êtjreun peu plus renflée et lejpw^àu unpèuplus
court. Là’caudale a pnàdiéapc\)up"aed^v^Q,npemra| enrongueur ;
car ses lobes pointus sont plils longs que de.-tr@h6 f jfêur | rrfeshre »
portée-sur lui,- atteint au bord de l’orbitqjfcLes àütfês^p^g&o'ires
sont aussi plus alongêes, mais elles' m’offtent rien de très-extraordi-
naiçe.: la double »est plus haute ,n<J|aYant» $fg|
J’en ai un aiïtî’e individu"^- ;
à tronc déformé; raccouffcî. La hauteur fait la moitié d'h la longueur Sj
sans y comprendre la caudale.- Le.ventre es^,gi’os.et saillant,,à flhëèïe
courte,, la dorsale' n’est plus fprpaée qu^e de deux ou trois^ rayons à la
^ ^Uiîed,e l’épine denteli^tis|&;^p|rMe|^u|^qp^^^’ffl^paçJb$uit
„riiyons mnn.s.miai.s la
qu’à l’eXjt^jaltéjdu corps il^ a .aeqx naaeni res échan-
fcîlies^u fourchues , et, réunies„s^ulemefltsp
qui égale ennôpguêïïr*la qîstanee'^çomp^e^ntré l’qsue^gt la
î?<tfâMinfl delâ^àudalè.
^certainement up.e .^formation, due -èfy un
commencement de monstrupsilé double j ear j’çn ai fun
spgpnd jexemplairpyen tout.gemblable ^ q u eje; viens
de décrite, mais qui. a deux, tpagepp’es.anales i^ç’èst akp’s
le vrai cyprinus auratus de Linné, et le cyprin quatre
lobes de Laeépèdéd I
- U® second poissomàtdeux anales et ayant conservé sa
dorsale, -est remarquable par l’éxeessii -alongementtde ses
nageofeès. Uansâriui-ci
la têteJ ëst tgra&fe’, fet est cc/mjlrisfe deux’foWétî demie seulement daps
la lon^U'eurJ du-ftrciMc^le'dos’est‘boss'u^sous-la dorsale; le ventre-
esfôg|o's»;vla#hauteurikit un peu-plui que làddnguéur de la tête:. Il y
a; d eu x lu ftl^ ; l^gauphé* e^t un peuplus^quiigsque la droite. La
^ ni ra n d al a,je.sk dauble#» e t la longueur de'cette nageoire dépasse de près
d’un'Ouart -la^dougueur de là 'tê te jet du tronc p ris ensemble ; les
vennâTes''omüîiê longùeüf-égalé aùxPîrois quârts de* celle;dès lobes
dê^ïà'câüdale^reàpëhtôràleâ'V^dssîtrès-ldri'gùés^ font îès deux tiers
f de^a*-Ventrale; la <5 afsafé ,'c dur te, a fcinq ài5six raybiis, qui ne font
tyquiîlê^^bis’^ u r t s ^SlàËMgWèntepâtee inférieure • la plus longue
• anale égale presque les ventrales.
% Jlaî^aciîssî' une suiÉi^de monstruosités, répondant aux
oeufs de candides Chinois . ëC^sôntdes' dorades sans dor-
salësl Ilhfy %nra plüs de trà@ésêl :îi
S-H ‘Léù^corps esTaètesi’ Btnormênît 5racOTÎifêiJ. Quelques-uns ont la
Sfô^^^8,atl#ës'|^kHièfté caudale développée'
ét à trois lobes, é’est-k-dire,:,qu’un lobé supérieur ou Mme
demi-caudale suit, comme-à'l’ordinaire, verticalerà)|nt le corps
du poisson; puis en dessous, il y a’deux lobes inférieurs ou deux
demi - caudales, qui s’unissent au bord impair supérieur.
; ’ Uette -variété paraît une>des plus communes^ je l’ai; vue
vivante dans lés; éàux douees; en Hollande. M. Temmincb,
pendant ùn séjopr que je fis chez lui, eut la bonté de
m’en donner deux individus, que j’ai rapportée vivans à
Paris 5 mais ili n’y ont pas véeù longtemps.
J’en ai d’autres, toujours sans dorsale, à deux anales
et à deux caudales disxMëtes»