parce que vers ées^éMogs,
et qu’on é n ^ é i tu n plus grandmombre stù lermarebés.
WillüpB^ tjafle d # la f taille, ten lui attribuant tiue
longueur de ^wô^s “’coütféeà. D’aiileurS ^ t t àutèur a mêlé
le ^ e tit nombre de ses observations propres- à ce que les
auteurs que je viens de citer lui ont fourni. .
Si Bloch avait mieux fait dessiner tes plèbes- operculaires I
de la carpe,'sa figure ne laisserait rien a desirer.^oust.ceI
rapport la figure de Meïdingerlui est supérieure jvon peut
la dire très-bonne. Mais -de toutes les figurés que j’^ ' |
citer ,*oelle qui est sans aueite èoUté.la plus p^faite a j ü l
le dëssin'de M. Agassiz, est la gravure- Sur bois que nous
trouvons : dans l’Histoire des poissons d’Angleterre : de M.
Yarell1 : toute petite-qu’efie est, je trouve qu ’elle rend
mieux le faciès de «L?. carpe que celle ^très-bonne aussi , I
quelBoiis a donnée le prince GharlesBonapârtedeGaninQ I
et de Musignano.
Jja carpe, eûmmemos p’ofesons d’eau doucer ôft$fèa«sez
vite dans la,première année,qauis*, sa-croissancé,,devientI
moins rapide. Une- carpe de Seine a-, am-bopt de huit a
dix mois , sêpt à huit poiicesde long?, mais quand elle a
atteint un pied, elle croît tres-leütemenfc.$ r ..
•C’eSt un des poissons dont l'irritabilité vitale est connue
de tontlemonde pour être très-grande. EUe vit long-temps
hors de l’éau. Si l’on élève brusquement la température dfe
l’eau dans laquelle on tî'ént une carpé, elle se “débat, elle
souffre ^à'une température de"13^>s cèntigràdes, mais sans
périr; à 4oD, elle tombe "sur le coté, ses branchies sont
gorgées de-sang, sfes sinus-veineux sont pleins, e t 'f n
P Pag. So5,
portant la température àt*4^% j’ai vu les .carpes tomber
dans une^orter,d,efl<^talepsie^^ qui pouvait les faire croire
mortes., Sinl’on retire une -carpe '5io.uinisé à cette température
de^4'5T pendant quelque temps y et-après qu’on la
Voit roide, ies nageoirfa du corps et dilatée.s<#en
éventail, et qu’on la mettg sur -ummarbre froid Ou dans
l’eau froide; on est tout .étonné, .au bout de quelques
secondes,t«vingt à trente, de voir l ’animal reprendre ses
mouvemens. Ge§ changemens .se succèdent très-promptement;
on les voit :se produire dans le; court espagej jde tenips
dune minute : les earpes .ne rendent aucune bulle d’air ni
par la ni par l’anus, et cela aussi teng-temps que je
lés ai tenues dans,l’eau,.et de; manière que l’intérieur de
leur <mpps avait atteint la température die l’egu. L’air distend.
la, vessie aérienne, les parois résistent ,;et le gaz n’est
pass f0iSftÉ-‘*dpnS;O®tfe^ M
Les ^carpes - soumises à . cette -température, produisent
une (sécrétion-de mucosité des plus abondante ,,o’est, même
un ban mof-en de voir les oriûeesdesnornbreux pores
muqueux qui s’ouvrent très-régulièrement sur la tête au-
dessus desnorbites,- sur la nuque, surdes joupss, autour des
sous-orbitaires, du bofji du préoperouLe :^otî|tei#éerélpqn,
de? mucosité a, lieu par toute la surfage de la peau, même)
sur-, celle des nageoires.
La carpe paraît devenir plus grande dans; f est de l’Europe
que-dans nos fle-uvesfde France. Ainsi on.trouve déjà
dans le Rhin, et surtout dans le Volga et les autres afîluens,
des carpes.de trois pieds ,le t, dit-on, davantage-; car Rzaq-
zynsbi1 dit qu’on en a pris dans le Dniester qui avaient
cinq pieds de lçng.
1. Hist. PoL, pag. i4a.