LIVRE XVIII. CYPRINOMIES,
L e Rohite de DuvMtÊÈ
(Rohita Duvaucelii, nob.}' "
Enfin, je trouve dans leS||Coliections de M. Duvaucel
une autre espèce»*:,
dont le barbillon supérieur du maxillaire ne paraît plus que^eomrù'e
• une papille très-<3bu#tl, #t le labial lui-même si bourt, que ce n’est’
qu’avec uûe loupe et en tenant le poissoh plongé sous l’eau, que
j’ai pu les apercevoir, ta forme du corps est eelle d’un gardon ou
• d’une vandoise. La hauteur est; quatre fois ^et;;un.cinquième dans
la longueur totale. La tête y est^cinq fois et demie; l’oejcl.est.petijt;
les lèvres sont frangées QU ciliées sur toute leur épaisseur; la dbrsale
est cpüTtè| 3É caüd ale très-fdurchue ; l’anale pointue.'* '
DT 3/ÜV a. 2/&Î etc! /
Je ne compte que quarante écailles -dans ist longueur : elles sont
minces,’très-finement striées^et grenues. La ligne latérale. esOrès-
légèrement marquée et peu courbée. La. couleur* est verdâtre;, à|
reflets dorés de laiton. ' La caudale et l ’anale brunes.
TEindividu est long de sept poucest.^’
« L e Rohite mora-l,a.
(Rohità moraliiis, n o b .C jp ' morald, Han*, llueh., pl?î:t8,
% 9 1 » P- 3 5 1 et S M f f l
Cette espèce, placée par M. Buchanan parmi ses mora-
liu s, mais que M. J. M’clelland ramène parmi ses eirrhines^
est pour nous du génp Rohita.
La tête est petite, en ovale along^ptachetée sur le nez; les,Jîar-
billons sont petits èt au nombre de quatre; la bouche, étroite, s’ouvre
en dessous; les lèvres sont frangées.