pH X H T R E IX.
D u | Gapôète ’^Capoeta). 1 *
Je 'Crfeisi qu’ilfâut SépaieV des' barbeaux éfdfiè goujons
le poisson que? PaHas et Guldenstedt jnoiïs o,nt fait ’çôn-
naître : ïe premier !sous le juqm s⧠çxprinm^fimdulus},
et le second sous»'celui de cyprinus capoeta \ La ligure
publiée dans les Commentaires ^ de Pétersbourg „ a^étë
reproduite dans FËncy clopl|chè« ^
Pallas avait déjà remarqué que ce» poisson tient deâ
barbeaux par le raypn den|elé de, |É| dorsale, en même
tempsyjuil ^ coçime le goujon, deux barbillons^, et qui
sont placés,-à l’angle, de la bouche.*, ajpsi, quq<: le mqnjrc
la figure de Guldenstedti i Je itrouve dans lest collections
fàî^sHdans l’Indu pàr MM. <K.uhl letiiVan^Hafeselt ou par
M. Dussumier', des espèces- voisitfes^e^ Ëêlîéqci p'aî le
rayon solide de la dorsale, mais il n’ést pas(.dêntèté?j Êüs
espèces no'rîï ahsSr-qué1 deux barbilldris. Il résp.ke’ du
rapprochement!'de cesf formes, que.noirs allons rqtyoüver
ici une4 succession de .peiits.^noupeJ t o u s e m blables
à ceux.des barbeaux, puisquejtQua en avons qui,
avê'è* les deux tentacules- labiaux f i rayon* de la
dc^âiè^b^êùriet denteMi, prfis fd;autre^ qui’ ont le rayon
dur ^lài^dfe'P%t§(atiPdentëlurés1>^?ét,''enfin*;1 unUrÔisièîme
grdupe*, « èi rrayon de la dorsale mou. 1
J e n é ’puis'parler du byprmus capoeta ’que d’après
1, Faun. ross. asiàt., p. HP! •*-v2. Guldv Nôt. Comment. Pétersb.s, t . XVII,
p. |o f , tab. 8, fig. i et 2. t—-3. -Eneyclipnéth., n.° 4 n , p- » et ta» ' 11
Pàlfesp car nousMrie l’avohÿ pasudans ’les*' richesîéollectiorfs
du jardin dù. Roi faut q u e\, iç ë? fioiss on soit assez-rare,
puisque >M. Nordma’nn ^fiVpas vçrhon plusf èeltm%sp'è’ce.
Il fiie - paraît prqpablp ' qu’ifi faudrairapporter afissfipfi ce
genre phisieurs* des resp$eos; de' M. Buchanan J malheureusement
les diagnpsçs1 manquent de rigueur pour arriver
à .quelque&^fésuitats. ,,
J[^e G^boète ^NîquLE.,,
l*h| Capoeta furiMulus, nob^ H
- A enquger d’après>\ia,sp|ure, ,de Guldqns tef i t tée plus
hp|ui|,:: :
éürpâ èst aloil^é, ihais' ellipntfûfe'; la tête est, courte,-ne ïaâsant
- ‘pàs ‘plus' du sëptiëme de ,fl|>’longuefir totale ;(l#*mui^tif .eSt- paillant’
et poreux; les défis barbillons?.sorit assez longs!; la dorsalejLest
petjte, et* son troisième rayon ^S.tjifi’©ntél&; la caudale fô,urchue.
m 3ya> A/-a/8jri£V;,
• Les écailles ’s;ofit de ftioyenn'e grandeur, argentées, ombrées de
vert ffin,cér sur le dos et les flancsAét ;sablées, de* points noiT;s; le,
ventre est blanc. ’
P ’après les.^QhsÊ^tipns . Guldenstedt, le candi intestinal a
plus de dix foi| la^ggueur diy^^ps.
On trouve ce^Pnsson dans le Gyrus : pendant f hiver
seulement il soit des profondeurs, de la merqCaspienne :
aussi’ne,le prend-on pas en été^l^Sipë^lheursd’Arméifie
et de- Géorgie le nomment, pzt,sc^t^^GKéjt; qüan(| Jqs
femelles sont rémplies'd’oeufs, p.Hos is e #10 mm ent kapwaeti.
Sa... grandeur ordinaire, esi,A’un.:pied.