APPENDICE AU SEIZIÈME VOLUME,
vmces arrosées par le Gange, et dans les provinces p du
centre de la péninsule : il atteint sept à huit pouces.
M. M’élelland a fait de ce poisson un Opà0riU$’ D’après
la figure dé®. Buchanan, tab. 8, figi 76, é’e^un des poissons
qui ressemble le plus au Cyprinns cultratus.
On a vu que fài^cherché ayéc soin, dans l’étude.,que
j’ai faite de l’ouvrage de M. John M’clelland, de placer ses
espèces*^ coté de* ceH'ea. qui ont du rapport avec le§
poissons décrits dans 1 ouvrage de M. Buchanan j mais il
en reste encor<Pun certain nombre sùr lesquelles je,n’ai
pas dû me. prononcer; c’est pour cette, raison que je les
place toutes? a la fin de Cet article.
Le C ypriin goréah.
' (yLabeo dyocheûus9 J.;]VI.3,p. ?^9,>e,^p, >33o, tab. 5^ fig, i!)tJ •
Tëtëi longue ; les opercules çaçhçs sous des tégutnens épais ;
museauT musculaire; quarante- quatre écailles le long de la ligne
latérale j treize dans là hauteur. '
D. 12; A. 8 jMi 49 ;^P. 18; V. 9.
Les couleurs sont bleues ou brunâtres, noires en dessus et à
l’extrémité des nageoires; le ventre est blanc bleuâtre; les ;$#és
ont des teintes variées de bleu, de blanc, de rouge et de jaune
sur les épaules.
M. McClelland à^jcôrnpris cette espece sous le genre
Labëûh, ' qnoiqiielleai’ait pas de barbillons.
Le Goréah nage^^^pqâdréjsse et force dans les rapides.
11 est plus exposé qnë^ beaucoup d’autres aux filets des
COTKÉNStï 5S5
pécheurs; mais son nom désigne, selon ces "hommes, La
facilité avec laquelle il sart*s?é'fhapper de leurs pièges. Suivant
les observations de M. Griffith1, on le trouve dans le
haut“'Assam 'au commënchment de la froide saison, s‘e
tenant généralement à la, surface des eaux profondes et au
pied des rapidés, de telle façon qu’il évite toute sorte d’âp-
pâ‘t&yet de mou chus. f II est très-estimé Comme nourriture
dàttS lés parties pitié bâàâës de la fivrèré.'M.TVÎ’cïellandTa
vu-vërs'lâ fin de Féÿrier dans l’As^attl mô^ëfi: il h’y est plus
estimé. Ce pc&sson se retire dans les bas-fonds poiïr y frtiyetl
Sa', taift'e’ ordinaire est de un à doux pieds et demi.
L e Cyprin bicouore.*
JG o p io biçotor, J. M., p. 378., Aab. 40, i, et p.;5|jo.l ^
A museau lisse, -atongé, 'pointu; la mâchoire inférieure plus
.'ii^ëpptFe que la Süpêiâiùré; quarante-deux ééailles le long de la
ligne latérale, treize dans la hauteur; bleu dessus, argenté dessous;
pectorales petites.
O. 12; A. 7^C. 1,9; P. 16; V. 9.
Le canal intestinal égale onzeiojdla longueur totale dà corps.
M. Griffith a trouvé un seul individu de cette espèce,
qui habite les parties Les plus élevées.du Brahmaputra, où
la rivière devient rapide et claire, sur un lit de cailloux.
Le Gyprin a queue inégale.
N (Gobio aniswÿiSj, J. M., p, ^8 et 56©, tab. 40, fig. 23}'$
Museau obtus j la, mâchoire itifériety^^lus courte qtié la supérieure;
trente-neuf écailles dans la lônguèur, treize dans la hau-
tetir ; le lobé inférieur de la caudale plufâong que lé supérieur.
f a m m m î ; g. i»; p. ri; y. ®.