leur position normale e t ordinaire : les animaux se . sont
tenus tranquilles au fo.ndrd'ftLeau, 41s. avaient.l’abdomeü
si, déprimé -qu’il semblait creh-séien gouttière; mais «fis se
gpnj^aientotOut, ^oueement, et après six heures, ceux‘que
jfgfuvrais avaient la;:yç§sje.;aérienpe distendue y rempli® de
l’air quelleyé^rète,*;Cest-àp'dire, presque, engentieri.de gaz
azoté. La ye§siemtaitî toutrà-fait : dans les mëmeS'OQndi-
tion^ e lÆ iÉ flta it le mêmeiaspect que pelje d’un poisson
retiréjde l’eau ordinaire, et sans ayoirrétëj-oumisà aucune
expérience,.:,f
. Le nom de cyprinus, -sous, lequel on* désigne ces* poissons
, ;est un .UQ^t grec, e t . en comparant les* -passages : des
différ^ns ajûtçur§^anciens, on arrive gà une détermination
peut-être moins douteuse- de ce nom qu’à? eelle de jbeau-
coup,d’autrea quemous trouvons dans.leurs,»écrits.
. ;s^ pouvons rappliquer d’une manière spéeiàfe
le nom de Ku,^iî/pçià5_diune.>des espèces du,genreÆjprin,
nom .trouvons cepèndant,.par plusieurs, traits rapportés.'
par les anciens, quecette expression. estàane.de exiles qui
conviennent ;le mieux.à notre .carpe- Lu effet, AriÉt©Jtei^
en .parlant des organes des, sens des îpôissgms y _nt ^après
a^jix jd^y que deur langue, est imparfaite s et obsnure^ou
presque.effacée.(pxflwkS'ccpvJg»?), ajoute que^ quelques-uns
qnt un palais charnu, qui leur tient lieu de langue, comme,
pafrexemple^ dans les fluviatiles, aux cyprins, ro;?
^ tellement,que, si: on n y regarde ayee^tientiony on de«
prendrait pour l^laugue* Ce.,$ràit^)e&t'a^^è^^fié^ioeâé^
pour me laisser aucun doute sur la signification du mot
Kvfîçms. .Le .nattiraliste .grec rappliquait à nés espècesHde
J. J}isU anijn., lir- ÏVÿeh. VÏH^ip. «fiffi, A.
cyprins; Ie^fems parmi:f e pqièsotis qui aient ainsi lé palais
gfbSÿ ‘charnu -et -ânifàé'!pa¥ un' grand nombre' de filets
nervéuxi ‘-Si îFOtf ëüCèfë -comparer ; sous' lé"' rapport
du développement de Pffffiôrgaûëpiios 'Carpes"/ nos mêu-
Craindre fe-une interprétation forcée,' qü’Aristote désignait
la làrpeqMr le mot11 de cÿprimM - ■ ;
<Nbus voyons'ènCOrê*des cyprins cités dans quelques
autres^passages de ses cduViéS. Mâisé des '»citations1 ' ne r së
rapportent pas^àé dés"traits-^#0'rga'nisàtioU' aussi' caractéristiques'
que celui tiré du p’assàge'J cité plüs'baut. Ainsi ’
aut'chapitre XIII du livre 3I I ,- il ^cité le éyprin avec* le
glauis, la perche et 1 e "t o ur d M§ o'rft îîi é ëxe m pl e de poissons
ayant de chaqueieôté'quatred)rah(Mes »surunrahgdoüble ;
©e-fqui est vrai pourle-plus grand nombre des poissons.’
Getteâxitaition du ,M lf t e ; ”en,'-coinraun avec la perche et
le'glapis - pbfir‘appixyCr^ïîn fait 'tenant*àI l’organisation générale
des poisSOris', prouve ^qn#nteliÊi désigné'SouS'^ce'
nom’était afeondant^tneonnu .d#*®s^fy;?ét' il .èst dà cité
avec] d’âktCe’stpoissons'#’ëâu deuee.'-Au' liv'ré* T I , cha-
pitreiXW, il le'dontfë^comme' un Exemple d’un'pôisson
frayàpP efeiq ^SRdans l’annét^ etiiné laissant' pà$,: confiné
les «espèces marm^S| échapper- son frai dune seule'fois.
Ce® îest''ffSse^»bïén’confcAmê^tà cd qüe'naus "observons
ik^èetf que la càrpe 'etvla plupart ..dë'
nos nutres'cyprins fraient à* p-dsieurs néprrsës'et successivement^,
depuis Alrril teMai^usqulifcïfin dé Juilié|i®u
le commencemént d’Août. Enfin, nôus ébydhs, en quatrième
lieu, lAristote citer le kvztçÎvos''Comme un poüHn
sôumfâ à l’influence du'Wnnerrë, dont’ lés effets étaiètit
de -“ soupir; propriété quêl partageait avec le glanis