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CHAP. VIL NÜRIE5* \ 81
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D e s 'Nuries fâffluria, noi|.^ + ’
Une autre forme de cyprinende est aisée à distinguer
des précédentes si la dorsale est reculée sur l’arrière ?du
.corps a' la manière des brochets; elle na pas de rayons
épineux, et elle est’ ëourte; il n’y ^ p a s de barbillons
maxillaires ; mkis les deux barbillons sont labiaux, c’est-
p^dire, que de chaque^^tAu îpngre’ a^'lâ bouche il y
a deux-tentacules* : les lèvres sont minces, v
( Je mordis qu’il faut rapporter lâléeïgeriré; le {petit poisson
figurépar M. M’clelland à la planche LUI de|?son Histoire
dès poissons de l’Assam, et qui) vient aussi d’une source
d’eau’ chaude/'
J’ai pris dans Buchanan le nom générique; des poissons
que je vais décrire’.'
La N-ürie thermoïque
_Htx(Nuria thermoicos, nob.j) ^
est un poisson qui, malgré sa petite taille, présente une
réunion curieuse de caractères ; il est intéressant à4 étudier.
- Il a le corps alongé et comprimé en arrière, comme certaines
^.petites dupées; le dos est courbé; le veille est droit;-la tête
„ surpasse plutôt qu’elle n’égale la hauteur du tronc, qui est,comr
prise cinq lois dans la longueur .totale; l’oeil est assez grand, du
“ gùart de la tête,T et' distant du bout du museau d’une fois-son
’diamètre. Là bouche est fendue obliquement; là mâchoire inférieure
dépasse la supérieure, qui est tronquée. Il n’y a pas de barbillons