M. J. M’clelland, qui a cité le kalbosu dans son ouvrage,
ne paraît en parler ^ue daprls’MvJBüchhfian, dn moins
il s'ajoute aueun^trait à l’histoire de ce poisson.
Le Rqihte nif Belan’Ser.
‘ (Hohita BelangeH\ nob. ; Girrhine mibfopogon, nob;
: v £iük îâdei‘,érMënt. ; pl.
•V J é 'trb ti^ dans' lé# coUédtiôriâ^lkiï^^.^eti^l^^isff feu
M. Alfred5 Duvâuceî^tpsk M. BelatOT#; unè"êS^èë Voisine
d e i’deüx p ^ e e a ^ ^ s ; :v‘t V , £ f'J\ \x > '4*’^
mais je lui trouve le corps un peu plus{haut, parce quelle dos.jest
plus arqué que dans la précédente : souS ee rapport elle,ressemble
à la première^ mais elle a la télé courte Comme la débonde. Le
museaü èst plus pointu; l’ééil est plus bas sur la fouèj les barbillons
ântë#çürs sont plus longs; La dorsale est faite fcom’mln&lle
de la première espèce ; la caudale, et surtotit ràbklë’, sont pïuMEmtlies.
D. 8/14/ À. '2/5 , etc.
La couleur est uniforme , comme celle. de la p^eniière
espèce, La kpgueur de l’individu .est de sjept pouces. .
C’èst un' poisson de 'eettë espèce que j’ai fait figurer
SOUS le nom que je n ose‘ conserver ^ parer: qu’il est trop
peu caractëfistiqué, de1 cirrhine miàrq^ü^prp
Dans le Voyage aux Indes 'orientales* dëf M.’ Beïari|ër,
trompé à l’époque de cette publication sur les vrais
caractères du genfe GirrMne^kvm "donné le nom 'de
cirrfiin^ à petites barbes, par, oçpositipn aux espèces de
cirrhines dont les barbillons antérieurs sont plus longs
que les barbillons labiaux des ïohites;$>mais bü"voiuque
je commettais la faute de comparer deux organes-inférieurs
sur d’es points tout4 t-fâits distinct#.
Le. RoHI-TE A^f^IT MUSEA£J.
! . ) j R a h ita vosteltatus, nob,) i j
Une,espèce, aussi Q n ^ p j s ^ ^ r | rm w a .d d i , se distingue
de celle-ci
par la petitesse de son museau à pçîrje charnu, et recouvrant à
peine la bouché, d’ailleurs ‘très-petite. Un autre eàraçtère notable
. ^eofisiste^ijffns Ja petitesse des.barbillons, et surtout dç l’antérieur,
. qui n’ajpaTmoitié de la longueur du second.;.çelin-jciiest»encore
assez Visible, ta courbure du dos est plus5 soutenue, la dorsale un peu;
plus*io»gue, basse; lacaudalefourchuejysâuirêé^geôires courïes.
| jp B '3/111 A. ifiîj i etc: Éf
, .ta hauteprm ^ t que trois!mis et demie dans la longueur, éè la
, tête n’a pas moitié de la hauteur. t ef joues et les opercules sont-
plus a nu j les lèvres sont finement frangées j Iajcouleur est un
r|em^]r|j^iTOra' 1$, haut, avec une écrie de réseau noirâtre,
du à des tacnes^qui deviennent des lignés de points, au nombre de
sept à huit, sur les côtés de l’abdomen ou de la queue. Les nageoires
sont griseé. il*
Je mai y ü lde cette espèce,* due, aussi à M. Reyhaud
quuTi individu long de quatre pouces; mais les caractères
que j’ai ob^rvës ÀO peuvent 'dépendre *de la différence
d’âge entre Les^inaividus dés autres eSpëèes déjà.décrîtes.
\-Le Rohite chagünl;
(;Rohita chaguriio y Cjpr, chàgunios Ham. Buck, p. 205 et 387.)
Dans cette espèce j j*
'la tête est -plus, étroite que le côrps n’est haut : «lie est petite, tes
barbillons sont courts; la bouche; en dessous s, est pem> fendue * et