peut ÿ navigueT en èâho^Les pêcheurs lont prévenu.
q‘ue^s’il en mafigëâit^il -éprSuvera« iès^symptômes, de
livrasse j f çê'qui sem>bl^,£qp%mer jce qui, a e|é rapporté
plus imut.
\U re inu s g u tta tu s , J. M., tab*. 3.9, 1.)
La seëbnde espèce> également figurée j 4
a la téti e^vS^dépais"1 té^Wèn¥] Tdwèrtilre deS' ouieXj petite ;
' lés' y h ix le solit1 aussi beaucoup ; i è ’bas d ü ÿ o n ilevfô'',ddMàlé-
' est dentèïéf ’la pointé est lisse et m<3lle. ;
■ ,b. 10'îjÀ- îffv! 11. ^
Les barkllonsvsônt grêlés;, le corps à les- écailles petites. La
'couleur, bruiiê en dessusdevientÆjgentee ,et tfjbjjég d§t-j^ne
- -.stous le -ventre. Sur* les flancs il ^ à ^ J j t a g i^ % n o i^ gju s|nt;
!fdrinees par ‘iîn petit tubercule, elevé WTôrig^dès côtés
lign^lattrale* et^sur les na^Qires.^ , J
, Ce poiSsOn* h a b i l l e s 'rui&ëatix d^s‘ ^montagnes’ du
Boutant fl r a ?Ittffirouve par M .’Griffith dansle Monas
et autres ri v|êm[ fol^èttfe contrée, entre deux, mille et
e|uq millé pieds 1 d’elévitionl barométrique.' Vpetf diWie
mçnf^ peut-eÿm ?'enoeré pluÇlfaut j mais^M. Griffith
ren^queÇ que les*^valîfe^ü-^ssus ak^ cinqgimjll^p^l!
sont encore, arrosées par dé très-i|e,aux çouj-ans d’eau
clitîrtf^
éïeriéjfâp. 83BÉ!^' âüx * PJBMÏf * ! 4»
ïe^pédition r|, laquelle M. Griffith .était attaché, qu’il
n’existe plus de paissons- à de telle hauteur.
(f7;*Z£@RE^Æ - DE RlÇUARDSONV A'
~4 {Oreinàs-Riçfiardsàrii-,-J.' M'.) '
Le p9^sqn ..d^c|it par M. Graÿ §ous le nom de cyprinus
Richartfsoni f figuT$,Hard\v. Illustr., tab. § 4? fig* 2 > doit,
selon M. M’clellâird, ;être, rapporté .à- ce genre.
s U a onze rayons à la dorsale et »neuf’à l’anale. Le dos est parsemé
S#(i4e,petits points. r,
gÉBj M’.çlelland*,se demander&il est différent de Yoreinus
guttatus?
„ X ’iO REINE
. (Oreitius maculaiits, J. M., tab. 5 y, fîg.*6.)
)!TCettê troisième^è&p’è c e â
la tete comprise j trois fois et demuTdaps la longueur totale; le
musêaù*épàis eC charnu; quand la Bouche est en mouvement, elle
'b s’ouyre ^trjse ferme, comme le- font l'es goriorynoïqûes.
U y .a. quatre.petits bcU’billons. Les,lèvres sont épaisses,, charnues
et lÎB^es/îLes trois* premiers payons de la dorsale sont épineux.
D.'lîI^A. 5^C:’l l: P.18- ,V. 10.
. ..Les écailles sont: petites;.des petites taches informes sont irrégulièrement
distribiiées sur le corps; le canal intestinal a quatre fois
la longueur du corps, et s’est trouvé rempli de matières®végétales
1 eue ère; Verteâ.
Ëlle habi|e les ruissçaux des montagnç§ de Simla, élevés
à ein,q qu si^ mille pigd^ Ce]tte espèce,a,été; observée par
M,. Macleod- Les individus sont longs de six pouces environ.