pluç-^onjîie; S a la queue ïorîde & carrée^ pàr-fê Bout, ■'& |
les ailes fi courtes, quelle^ nç s'étendent guère^au ; dei^l^i
*.fariginér,de la queue; il criante a peu-pres gomme
^p= ÿ u tô t comme pek hMoges_ de Bois qui imitent Je chant su j
;Sc(moeU: ;
H fè tient dans fe-bois les 'pîûfr éjpaisÇ^où ■’iî fëSbifcïfoùvent
difficile'de le découvrir s’il n etoif"dëcdUspàr Jow cna’IlqV'iîtB;
qui peuffeire doutgr qtfeft le'baeharft Afeigneïifemeiit dans les 5
feuillages il ait intention de le déroBer aU'dchaffiur' ^ ‘çjar.ra.yec (
■une "pareil®' intention- il fe gardéroit Bien'1 d’élever la r.vdi*3
I’inflinét qui dit toujours coriféquènt, lui dÏÏtÜappris que fou vent.
rjéâ n’eft point aflèz de Fé cacher .daHs^iEoBfcUrké^j4tiï'te»iwe ‘
fcëüreux; mas quil faut; encore iaWS^gitlërïe rmérace: •
Cet orfeau vit de fruits & de Baies.;, commé; nos),merles -Su
nos grives
______________ J L V J ,
L E M E R Ù E 1
L es Anciens ont parlé d’un* pfrVîèr d’Ethiopie, qurae~°pofipi
jamais de fruit : le merle idé^çefe article Te nourrit enipartie^’de ^
-fa fleur de cette efpèce d’olivier & raV é ri tenoit-là, on
pourrait dire qu’il eft du très-petit nombre qui ne vit pas au xsl
dépens d’autrui; mais il aimeTàuffi\fe..raiâçïs, , dedans'fa; l^ o |r
3 en mange. Beaucoup. Ce merle eft à peu-près de’d^grgîeur^
idu mauvis; il a tout le deftib Je’ fa. tète & du c d ro ^ im } ;
fe couvertures des ailes de même, cc&Æak U M, pennes des'ailes,.
& de fa queue, d’un Brun fpncé, Bordé d’un Brun plus 'clair j ’
fa gorge d’un Brun-clair, tout le dellbus du corps d’un jaune-';
fauve, & les pieds noirs.