H J S i f y / / R E ' N ‘A T V R E L L E
une goutte-de fàng ; qufenfia’G on les preftoît; auparavant’, lé
mouvementquon;fent-oemmuniquerait leur feroit jeter’/tropstôt
cette goutte dé làng & leur cauferoit la mon ^(m) j : ‘i ferait
■bon ''(Jeîïconftatef; cette obfervation», dont quelques faits me
paroiflènt douteux; ce qu’il y a de certain., c?eft que- quand ifc
ne périffënt pas du premier accident, ceft-jà~dîre , dans Je
premier accès de. cette dpèce d’épiiepfie, ils ne laiflent pas de
vivre long-temps & èptëbjoeefàte autant -qae- ceux qui ne font
pas atteints de cette maladie crois, néarrmoins quferapourroit
les guérir tous en leur fàifànt une petite Èfeffiie aux patfêsfî car
c’eft ainfi que Ion guérit les perroquets de l’épilepfie.
Que de maux à ia fuite dé l’éHavagei: Cksioifèauxi en
liberté fcroient-ils afthmatiques, - galeux, épileptiquesj auroient-ils
des inflammations, des aLfcès, des chancres 5 & lar. plus, trifle des
maladies, cdle qui a pour caufc fiamournon fetisfait, n-eû-elle
p i commune à tous les êtres captifs 5 les femelles' fiu-t6üSt‘:plus
profondément tendres, plus délicatement fitfceptrblesj-y.,font plus
fujettes que les mâles. On a remarquéti’(&l ; qu’affez ifouvent ; üa
ferme tombe malade au commencement du. printemps ; avant
qu’on fait appariée , elle fc defièche, fanguit' &vmenrt en peu
de jourÜ*Les émotions vaines & fes defirs vides font la caufe
<fc fa langueur qui la fàifït fitbitemmt , Jorfip’efle entend; pfiifienr«-
mâles chanter à fes côtés, & quelle ne peut s’approcher Aucun.
Le mâle, quoique premier moteur du defir, quoique plus ardent
en apparenoe, réfifte mieux que fa femelle au mal du célibat,
il meurt rarement de privation, mais fréquemment d’excès.
(ni) Note communiquée par le R . P. Bôagot.
• (a) Traité des Serins de Canarie, pages 2 j i & 2 g z
O 19 s , x - r §19
:: Au relie, f^p^yfrqia'ef dustempérament.^dayMfcMqg, efl fc
ioùne que dans les fenit-lfi stifcs au nos oifi^ux ,jtcllçjspf(ut', „et m m ^ l
les poules:, produite des oeufs fms^eommuimntion
L'oeuf en lui-memc, comme nous l'aferjs (Itt^ftfJjjcju’uriejnati Jt i giUn
queKoifeaufemelle jette ainfehors : cett&matric^^mgHreffi|M@aèi '1
fi d k ira pas aHparavant^t©iOE^égkëé’Alalëife^pi^mâle-,s.^
fc.chaleurde l’in^attom.G®!&0mp^^
a d o plus .cjbl^çvié,'•daïis J e » feintllt s piiui-yolt un ifis^quloll s p-o ^
font- que-parement' des-eeufs, 1
WèMdïre, fi elléS! àe peuvent’, les ->vqii^ ni:Jesî entendu lfcs j
en font plus fiimont (filuitudLis\Lyrànlf^oiMii^nlsf£nù-lb 'totAfl
r|- portépd’êtrè. dxcitées; pari.l’©j’eiEefou -la^^éÔ.eft-'a-aifcf par la
..p.éfme du mâle, ou, par'fonlchaittj^uiH-les1 dljjf'ts^^JaoWÜ^
foin lémeurfent ïes puiflànces dans tSüs lesiên:esefedib.fc§« jg|i$
le feu d e 'l’amour, a* de routes pour^e c f sm f e p n i^K ir ^ »
Nous ne posons m j e f e x î f e im i n é r ^ ^ ^ o ^ f f e tK ^ É 11
parvl’extrait dame lettre.de M. DainesBarrmgt<m,.¥^Tÿdpnt |
de-feSrisétéroyale, fur 1e chifit 'des oifeanx,; à&M. Matÿrqtpï
ÉfiVc La plupart-Je, ceux qui ont Jfes ferins tk
■ pnsxqmcos.oifômxihantent I
' (0) Y°yeZ dans le. fécond volume de THiltoire Naturelle chapitre qinquième
où il cflflu’v de k fora: ation & du Ævéioppement des oeufs.
CT lîon s ajôuteron ici fft-ùx' pcM*’ fil *1 11 nous avons été témoins. Une
■ I,nulle cl. n oit II bien q l’on U prit p.jut.un.indc^pV^1 ,'4> il
autre femelle, mieux reconnue >cm k i’7donna un iiîâle qui lu ippn.t les vmtables
fonflions de fon fexe; elle pondit & ne chanta plu
femeUe aanellement vivante, qui chante ou plutôt qui fifle .un an , quoiquelle
ait pondu deux oeufs dan la cagt . q i fe fout tr ùv& tons les oeufs .
?► que les oifeaux femelles prpduife t fans la communication du mile.
( j J’ai vu deux dfe ces oiieaux des île C taries q i ne chantaient point du i
tout, & j’ai fu que dernièremiut un Vaiffeau apporta 'K ■