I I r >s ¥ o i r e N a t u r e l l e
| puilïju^eiïes 's’effacent dans îa eager,î1 commet' nous tFàvonS vu plus
- Haut. 2 Elles; ne font -pas même, un;- eaEaélèrê -.'.exclufif,
puifqu’on en réconnoît des veftiges dans d’cslèaU; décrit^'comme
fâ|mlfoS3ë;’fo?3fflQttè grife' mâle a les plumes :dè: la
poitrail: d|ün rouge-obfcur dans leur partie mpyerine.'^.0 Lamucf
ftiSnit'.&-fàit''prëlque dilparoitre poür.un témps'^e fod||8fquWn.e
reprend fonîédat qu’à la belle faifon; mais qui dès. la fin du mois
tfè Ipptenibreeblore là partie moyenne des- plûmes deiferpéitôse j
comme dans, l’individu que M. Briflôn, donneqaour- Ie_mâleMe
la linotte ordinaire. 4. Gefoçr à Turm’.^ ) , Olina â Rome;'^wfo
M. Lmh'Éüsà Stoc&olm (n), Belon en France'(ofi'ôc pliïftëürs
fiJ.D e quatrelinottes mâles, & par conféquent• rouges, qui me furent apportées
Je 17. juillet,- j:eà fis mettre une au grand air, & trois' dansda chambre^^ont ,
deux dans la même cage. Le rouge dê la tête de., celles - ci commençoitl à ' s’effacer
le 28 aorntfainfr que celui, dpbas de Ja pqifiîne.;,"Le H8 |epti^Bl^^ e|itd i| deux-'fut
trouvée morte dans Ja cage: elle avoit la tête .toute- d é p l umé emê m e un peu
bléfféé. J e - m’étois aperçu que lun des oilèaux battôit l’autre depuisla mue, comme
s’ils le fiiflent méconnus à caulè du changement de couleur. Le .roinge de la tête dê
Ja linotte, battue nexiftoit plus, puilque toutes les plumes* étoient tombées, & celui i
de la poitrine étoit plus qu’à demi effacé. • «
- La troifième de celles qui étoient renfermées a mué ïorf.md, & a confervé ^
rouge jufqu’à la mue. Celle qui avoit ,été tenue à l’air, s’eft échappée au bout dë '
trois mois, & die avoit déjà perdu tout fôn roug^IL-réfajt^^ expé- ‘
rience, ou que le grand air accélère Ja perte du .rouge,-"en accélérant la mueJ^^S
que Ja privation dü grand air a moins de part à r l’^tôation" ^dù^ plumage dé ces .
linottes, que Ja privation de Ja liberté. .
(k) Voyez i'Ornithologie de AL Briflôn, tome 111, page y
(V Page ,9 r . 'j i” ’’ ' ' | ('") Page \
(n) H neft fait aucune mention de la linotte grifë' dans là Fauna Suecïcd; M. Klein
parie d’un M. Zom, auteur d’une"Lettré far des. oilèaux d’Allemagne; mf iftveut
"prouver qn’H n’y a“qu' e lèule elpèce de linotte. J’ai entendu-dire,la‘même choiL
à plufieurs Oifèléurs qui certainement n avaient pas lû cette Lettre, & M.^ Hébert,
qui eft fait pour la juger, èft du même avis.
(o) Nature des oÜèaux, page jy ,
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autres ,M^n’^ o n n u ' clans Joui c l ] l m ç j t f e .
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lièrcmyit qu îpt luitlli^fu plumage tujjL, tux j
&4;à ' K fo ffo ^ p ÿ ^ rfie s, m nmagi^iux Injutu tL»,. ÆféfoU
facile c o r iH u r c ^ ]U ti'j.- |^ n p ^ ^ lin 8 ^ p |^ ^ ^ K i) ii t" :
qui efMe tempsoù-fsto1î3%n‘^§rifc.àgjamugr;
’a^ant été éldv ^ A ^ y p s b ^ i-n’ont ]’u
d ç ^ ^ e dan^ietat de wpUÿ* 4 qm Lyfo^i'jris
mâture, -i-ont ' pcrHpj^|iuis la ’ en fui
prÆm ^ Æ céd^ y ia mucÆrf
,-'&c f]Mr -quelque, caufo ou^ce- foit. , ,
f o S ^ ^ oe î a f o&Tli^gèu-furpris q i^ je
i Irpi^K^ W fi ulc & mt mr' Upcc^ &, JpJejc
^ ^ v awêtéTa^ênïeSe. ‘^pges.boram('s>(j^ c j>te(^cy
P partie, ^ - qû^ r f e tei.a ë t^ n e c o n noe ^ ^ ^ ^ f e rK T ^ '’ >
AldroA'ande, tome I I ; page 8 2 5 ..
' / ÿ l f f a u t remarquei que ces oife iux, qui -ont, eu des raarqHes rouges; & gui les
| ^SSSïü'imt? pis. Iss Jiiiàj
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:s endroits une couleur rouflè. approchant du rouge,
s ■ élevés a k brochetft.’.SSwÿî par conféquent n’ont jamais1
Tome IV. T t t
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