H p y s 'f'Û I R E- N Aïm'uK’£ L LyJS
H y-a "au Cabinet dùtlj&i'urt oifeaù tout-à-.fait reflëmHant
à celui ? ci- excepté qu’il n’a pas Ja queue., :§ longue à
-beaucoup "près. II eft probable que c’eft un vert-doré qui aura?'
.(Été. pis* au'temps de la mue',--temps ^(âpj cet. oifeau- peut-perdre
Lift longue queue, comme la veuve perd ft* fiennë. -
V L
L E F E R - E V A L
o u
m e r l e 'a c o l l i e r d A m é r i q u e ^ f ë h v ,
U n e marque noire en forme de fer-à-cheval qui defcend-
for la poitrinè de cét oifeau, & une'1 bande- de jtuême couleur
fortant de'chaque coté de deftcms fort àeil pour fe - Jèfër mn '
arrière, fonftout 0è qu’il y a,de nôxr.dms ion phijnage; & la
première de cës taches, par. là. forme déterminée, m’a paru ï&è;
-qu’iLy d «le plus p u jïrc-à -^ ^ p in ^ jju tc e lj^ c ç * , ceft&dîie,
à. la diftingüer des autres merles à collier. Cë'fer.-à-cheval fe
deffinè fur tut fond jaune, qui éft la couleur-de la gffl^&TSïide
foùt lé deffous du (kst0\ & qui,,Teparoît; enoofè entre le Bec
& les yeux : le' brun règne fur la -tête demèreélemou - -&lle
gris - clair for les côtés ; Outre cela le fornmet de la tête eft
marqué d’une raie blanchâtre; tout le deflus’dh-'çorpseft'gris
de perdrix ; les pennes des âües & de la qu'êtie font -brunes
avec tjuelques taches roüflatres ( f ) , les pieds ,forflbruns -& fort
(d ) Cet oifeau efl étiqueté, Merle vert ' du 'Sénégal-,
■’ • f é ) C’e'ft la quinzième grive dë M. Briflon, tome 1 1 , ‘page 2 4 2 ; le large L â rmÊÊÈk
h grande Alouette de-Vïrginïe de CateiBy, page 3 g ; le Dubbel-lerche de ICIein, page'7 2 ;
en Latin, Alauda magna, <
. ( f) M. Linftæus dit que Jes trois pennes latérales de la 'queiie vfêiit^Ianches ,éii .
partie. Syfl, Nat. edit. 3K, page 1 d/. --1
d e r iO i $ ) f H t t ï i R 1 \ r r r s , '
Ipflgs le bée 'tjüï eu .(preigute-’noiry a d'™fo^e^degioelu? de
ihos.mMes l 'u t (jtleâu-^!jJe3,Ê!iorei‘j(Jâttdet ponimiifi lâÆes^iix.,v
P^ùil'pharfteftilèsH.bien au printemps, Gh|ii1t’rtiir'ip^ïi
I d’étetrduei H C%[ûe>'deiJ menues gçaihcs\ (pif®'*
y ti’s u ' e n quoi vÜ reffemble aux salbùettest, mais
il eft «beaucoup plffiigfos, plip -gros .foême que.', notre merlé; 'S;
il n<a pointai on^ë'ipfâftérieur aIongéafdmmo4Ièsé<tlQueïtLS. fil iè
peu lie (ur la ciijic des aibnflcaux, & f e u a n em il qut quMËæ^l
dans la queue un mouvement fort brufque de bas en haut. A
vîaisdiïêvrêe n’^ft-ni- imè.-^lgé'ette.'-ni 'un merle ; m o cLatMsBgLj
oifèaîæd-Eufope celui, avde-qui il femble aÿoir plus duhrappoirS}
oe gîeft motre - merleflôrdinaire.. HifoftioiH o 'hqnv- h ujh la
Virginie & dans la Caroline, mais dan||Méfoue jtout <fe continent
de l’Amérique (U)-v „
Le ifujet quafobfefvé Catefby ,.p^ifctr0îs‘M|6es, & un quart;
il avoif'i 1 o poirâgç de3a-pointé -du bee a,u 'îbppt
bec long de 15 lignes & les pieds-âë ‘f 8';,;fés.!ârlè|.dans-léiù;
^ « p f s ’ltendoierit à la moitié de la queue.1' -
• V I I.
‘ X ‘É M E R L E V E R T U A N p & L A .
L e deflùs 3u corps',.Çae la têtèVdu coa^Me^'qUéUb-^dis
âilesr eft dans èet oifeau-d’un vçrt; olivâtre (ph ÿ'Wffljl; mais on
aperçoit fur- lès âües dfes--taches rembrunies , & le croupion eft
bleu port, voit auffi fur-le dos, comme dt\ant le coujs (|Cu Iqüo _
mélangë'tde bleu avec le vert ;‘de Heu1 fe rdtrpteve fur la partis '
K S p ex empïe,-'celle d^^Qrnithoga/um à flairs; "
^ÊËkh)c M. Linnæus préterid qù-il trouvé auffi en Afe|qùe,