qttê -fe fetfift mâle, auquel on donne une femelle ou plufieurs-,
ne vît guère que- dix dttorrze ans,.le métis tarin onze ou douze
ans, & ï i métis chardonneret quatorze ou quinze ; .encore fautdl
avoir fattention de les foparer tous de leurs femelfos après les
pontes j c’efbà-dire depuis le mois d’août juftjü;au' mois de mars-;
fmi célâ font paffion les ufe‘ & leur vie & raccourcit encore de
deux ou trois années.
 ceS remarques particulières, qui toutes font intéreflàntes,
je dbiâ âjoutir UJte olrfêrvation générale plus impotffinte'iS^qui
peut encore donner quelques lumières for la génération des
animaux & for ie développement de fcurs différentes parties.
L ob a eonltamment ohfervé en mêlant les canarisy foa entreux^
fort àvèG des bifeaux étrangers> que les métis provenus, de ces
mélanges relïèmHeflt à leur père par la tête, Ja queue ,• les
jambes, & à leur mère par le telle du corps; on peut fàitela
même obferyation for les mulets quadrupèdes, ceux qüLviéftnetlt
de l’foe é t dé la -jumentpat fe corps auffi gros que feür mète»
& tiennent Ai père, les oreilles, la queue, la féchereflê des
jambes ; il parok donc que dans le mélange des deux liqueurs
; féminaies, quelqü’intiine qu’on doive le foppofer pour laccoiù-
pliflètrteMt de la génération, les molécules organiques fournies
par la femelle occupent le centre de-cette filière vivante qui
s’accroît dans toutes les dimenlîons, & qüe les molécules données
par le mâle environnent celles de la femelle, de manière que
l’enveloppe & les extrémités du corps appartiennent plus au père
qu’à la mère. La peau, le poil & les couleurs, qu’on doit auffi
regarder comme failânt partie extérieure du corps, tiennent plus
du noté paternel que du côté maternel. Plufieurs métis, que jai
détenus en donnant un bouc à des brebis «voient tous au lieu
A» jauie fo poil,-.•rude,-, de four. perç. Pan* l’e^gce JaumajnfefOk f
peut de inuue rewiqutL que commune întçit lo, ALjn çiÏLtxil|il§ f}
plu? à. fopi père qpà .fa ®èW4 papi.^Sîjjifebçs6 flpfods,.',y (
mains, d'écriture, la ;qyiantité desÆbqvgu# ; la'jcpÿifÇ ï
dévia peau, f e .g l^ i^ d e tla - tê te ,; &'''.d3ns'fe-muîàt^^q.ui
, ^fcG&âpt»e*ftç Aén vijaacx & tÆune çft i
plus diminuée que dans ceux^^-vierinenf i d ^ tn èg re ^ d’unf
-tant, cela -ferable prouver qu,e, dans,ritfol iflèmerit .forai I
.pvalén}lp.s. ryganiques fournies par, les -dej® du
• «pâle fornjQtrtent enveloppent celles de la^foelîe.-.lefqueHes
’ fojpiept fo premier, pomtïd’appui & pour, ainfi dire, hfonpp#
de'd’être, qui, is’organîfo ;,i que malgré la.jfég£trâtion é t % ' /
p^lange intime de res molécules feStfoea. telle,-, pfog.. (fomafqdings '
à feforfoeg plus de,féminines à i ’iijtçrieur|! c,e, quiqpar^t i
pamrd , font fos premièrea., qm .ïeÿit.;.<^erifer?4# i
fovmfe d aé-il refaite que dan* fo développement i dmjcprps
les-membres, doivent tenir plus duypsretquede la mère,, & ie 1
corps d d t 'tenir pfo&îd? £ j mère,,que du,père.
Etjcommè en général la beauté desmfo^P uè fe perfectionna
’ & ^ êVpSvît même fe foinerifo qu’en -crpilant les gft
anême, temps d a , nobl’eflè de faîfigureÿ,’ la-3'forj53|r<§: la
cfo oqips .dépendent prefqu’en, entier .déjîa'bonèi^iopprtion ;d q s.,
montres,-.ce n!dl;<<p^<par les mâfos;V<|»qf%eut jÿm#îis .ou ?
.rqfev.er les . jaeps dans d’homme &,<fens les animaux | de grandes j
libelles’.jumensvavec.de vilafos petits qfeSVaux nejproduirpnt j
jamais que des poulains-mai faits- tendis qu’up-beau val «vçc.J
pne jument, quoique laide, produira.de très.-heau?tjpb^vap^çjj§;
diautapt plus, beauxtque .fos, -rgees .dm.père ^ de A
plus éloignées, plus étrangères lupe a 1 autre. II enielk.ds