où ilsl croient,|ïpir ■ un autre • oifèau de. 'leur dpèee-;- hientôl»8s;
Grorent. l’entendre,, & cetteiüufiQn>produit une forte d’émulation ^
dé$v cfiants, plus, animés & deS progrès réels. ,On a ;cmrrèmarqüëfc
qu’ils èp&tôrent plus dans -une-pètife .cage que dàris.megraiide, -
' Le nom/eul de ces oifeaux indique afîez la nourriture, qui leur,
convient:, on ne les,a -nommés. imQt.tes-f'Z.marioe J que -sparee
qu’ils aiment la graine du On, ou celle de la-linaire; on,-y a]©wl|.
lëipanis, la navette, le chènevis, le nsillet, i’alpifte, les graines
dé jùves, de choux, de p a v o t s - plantin, dg.çoirée,--. &
quelquefois celle.de melon broyée-:.de temps en temps.du■
maflèpam, de l’épin&vinette,. du mquron,, quelques épissde.-blé,«
ded’àiysine emeaflee,. même un peu defd, tout edaôvjujé.ày^d.,
intelligence. Ils caflènt les. petites--graines dans -leup/tec, .
rejettent -les enveloppa: H deur faut-très-peu de.bhcriëyis, parce
qu’il lès éngraiflè trop., & que cette graifle exceffive-les! fait
mourir, ou tout au . moins les ^empêche dëÿchanter. En des
nourriflànt &les élevant ainfi foi-même, non-^foüiemera^l^êia?'-
apprendra les airs que l’on voudra, avec unédèrinettë.",. uni flageolet^
&c, mais on les agpriypifera. Olina iconfeilfe de .le§,
. garantir du froid, & même il veut qu’onsIes trakt dans fouis.
maladiesj,.que l’on mette - par es emple dans leur.£cageiiûhripe$it&r
plâtras,, afin dé prévenir la conlfipation (u ) à,-laquelleA ils Jont
lu jets; il ordonne l’oximd, la chicorée .& d’autres remèdes contre
l’afthme, Fctifie (x)? & certaines convulûons- .ou ;rbà®tem.ens dej
( t ) GeJfoer Hit que .b oïl ne . donnoit q u e jfe
nourriture, Ibit aux linottes, .foit aux eli^donnerets| ris • -deviendroient aveugles.
. ]Je, avibiiSj pag. 5p*i.
vaêe
(x) Les linottes prifonnlères font-aufli -'{ujettes au mal caduc, au bouton ; les uns*
Pie 'que r<ff.Wwrqubfcp^@^.i^rwu^fa|^M^TOS^^èyF|ffl'
une carefle: <'n\lu^iî^utttonerii,aniin.ll,s|K^i{’p%Lih fi ntnnunSf ,
fait tous les r.ftoib.jpoutt'»h-y|)iimc) tï V^irgjtj^lîi|^iyiilr -t n. /!
-■ éÏFet, & cett^elpeffi©h ’nmiit&y-ij nt 1I fcftlïdlpds mdiljiui.li menï
à tatig-le-mandc:- qu*tonqne auri^itn^Mfe^âMit.cd^fegljrTÜé,
d,ejferdiré l<pp^'®fl.01nia‘'<]'i!r,V(’It t^ynpoT crippunarift uu^fonpli
■t uefic p jur uû^mjitoine de mifodicÛBjuqi qui!-. “ pimPJ “iSWâîrt
lur-tout kducuiîijlflattiatnorf lut le*du i\ ù. I i^qmlfti fU^giairfiSii :
1^4 V11!1“ deijjpioputi.
re. Avec tous ces foins, on peur
It s f.uueUi^, eit çmttv itéym^Mi{fi»tann,ée‘.,<foivaut ,t)bya Jffiù
étfoeauâl^ÿp.Ius,félon daüticsylgjl. |
Qu'les lorgnait, ils,s’y atuchenf
préférence,1 & les 1 eg-jafoent. a^qc; lairijtJiÆffiûion. <^j-.wuè.-fiJ
?c^veut,PMfeTde leÇdpGnite^es Æceontm®^i'®|SÊé,d e
la?'>a[i'ie.f ils en'prennent Ils %ajutudes <2ufliM&iIun^tflra*Jc
tarin & Ie,'di<ùdontfçiçt.lpJls>tntunt 'en iriiie^atalrjv’non^nleU’la
canauL, & qud quel ois'1 Leaucc >u g_ pl 11 s taul ©n a urùnq'linotté
& Un tann qui n’ont coigmcna? à mucrijijli’di) moiiÆiâîJ^Î1
'ayS^S^^ant&juique-Ià, & leur ch^^tkfrpî'fe'ariiffié qùê-
ceiuf'd’aucun, autre'oiféaù de la mêmewofidej^lcnr mue, quoique? »
, retardée, tres-heureftf&riéfit,
La linotte-eft utï oifeau-pâiIvérate*j’^ 'oi®^i î)ieri;dégarnir
|f le fond de la -cage d'iïne cotfchc de petit laide qufoil' icnoin i l î c ^
dë^terifolt en temps. II luit fout ‘auifi, rnigpeûtèfoaignôjlrè f car êllel
difent q elle ne ^ut i iflent jauiai I ce boutt
& diétuvoe ia.' petite plaie
pase 8'
| ^ r Æ p n "eh a vh uiiè',^. Môntbard, B j C i dix-ftpt Jaij>-
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