qüôique dans l’intention de M . Ray t elles le rappoftàfiçnt
évidemment tontes deux an même oifeau. Les feules différences.
qui diflinguent le prétendu grand moqueur de l’autre, c’eft ’ëjjfai*
feu-plumée eft un peu plus. rembruni ,• -qu'il femble avoir les
pieds plus longs ( f ) , & que les Ddcripteurs n’ont pas dit qu’il
sût k queue étagée.
i | Gette réduâion ainfe faite, il ne nous reliera que deux elpècés
dé moqueurs; lavoir, le moqueur François .& le moqueur proprement
dit. Je yais parler de ces deux efpèces dans l’ordre où
je les ai nommées, parce que c’eft à peu - près l’ordre de leur
reflèmblance avec les grbest^_
s( f ) L%^reâï©n do M. Sioane a quelque choie ; il dit que les
jambes & les pieds ont un pouce trois quarts de long; mais .que doit-on entendre
par les jambes les pieds | eft- ce la jambe véritable, avec le tarie ! ou bien le
tarie avec les -doigts! M. Biïfion fa entendu dû tarie'lèîd.
« g «
' L E M O Q U E U R F R A N ÿ p I S ( à j r ;i
P A R Ml les oifeaupil’Amérique, appelés moqueurs-, c-eÉ^
celui-Çi *’('$!• 'qtd'ïrsffëmble le plus t heàt^dves-pat les
griyelures q,u mt&obeturesfd®J^^'jitiitjf ; imi il eir *
dfene mïifiièrertaflbz- îff.îjqupe par b rifjné nSa^cSsde'Jai
& des ^âües^; eéll&r- e t dans'1 leur état de^gjô'^tfiniflknt
ptciqiiq^ijÙ»Ja queue commente.”- fei^iuiu^.LjJte^^nuaû.'è-"
poucé^i’ deWu^MS^Pc^eft^à-dire^gl®«lrt tîfc®aêMa~T5BgtneMi»«,
totale Jedoifem, 0 î çjïït^dc-^'c pou&cs. Safgiijfleuri
eft moyenne entre-igqB&^de la draine* & ’,de Jra fp ®e ./ II a.les
ÿfeux^àànés, "fejjiëfc noirâtre, dês-'pie'ds bruns <& iput IMdiî&sÿ
du»corpsIm riqêîne-r<?ïK q u e d u - r e n a r d , cep- nduiu avec
ÿquqqüe mélange de V 1111 î ces de,ux couleurs sapent apfGLfer
les pennes des ailes, mais féparément ; lavoir |e roux Jes^
barbes extérieures, & le brun , fer les intérieures. Les »grandes'&
les moyçàoçs couvertures des ÿfes isat terminées d^Mfe'&v.-ce ,
qui fbimjjcfeux traits <fe cçtçe nèufeur qui îrayerfent obliquement
|3|.ï.aiJt&-Æj
^ v Levdfei3&tfe du corps eft biamMîfe, tacheté dq’.Lriÿijécibfçiir}.
mais lés '.taçbês. lônt plus clairfemçes que dans le plùmageiefenos
: ‘grives : la queue éfLetagée, ùn 'peEfc tombante & entièreme^*
rouffe. Le ramage du moqueur,Françbi's aj.qudique,variété, mais
. fli-n’eft pas comparable à celui du moqueur proprement dit.
Gatelby, H ifi. Nat. de l^jCàroJttifir,^, page a do ni
Grive Jmlyej en Ang|ois, Fox-co'Êpured-T^^Ji ^ ffîencfï^rho ck-bird. M.^Briffon
yen fait là huitième ' grive ^tlôus le nom-, de GriVeVdé id ^ ^ $n ^ Â O ^ ^ n à È g îe I
Jÿtppae- JI , page a i^y»