L ’ A Z U R 1 N.
C et oifeau' ( . v l a n c f i e j y j J n’cfi. certainement>Jni>
Stt.-neiîia1 hwa§%pr;t,5^ni la phyfionomie, ni I^jj^jjàftrwnsij
jl cependant x&xwà.^ H en a quelque, fchofe1 dansj Ja !foi ûre. dr£bèe|f
pdes pieds, &c. onjuiqi dphïjé ïe nom de ,mej;le.cb\la Guyane*-
en attendant^ qm^gs çVoyag0irs-r ^"élés pour de l'idii^'
toire Naturelle notïs jnlbuilènt de;fon vrai'jnmn, & fi^r^ovtçle
fes mccuis. A çn jtiger par le peu qiÿon' en fait ~
Bpai^l^téueui*,, je l y placciois entre les ~
, V Wois.îal’ge's batide^ <d{uç beau noir
|Elj^\bandesi pjiîs eüoitc d un-jaime-oifUigé .joÆnôeg^ çn> enflai, )
Iç deffas^&r^fe^-eQjés de la tête & du cou.; pfffMjRe* d t d’uu
jaune pur, la poitrine efTTiécôréSTI^irre^graiid^ÆmieTsï^tïel^
gp&ut W ifflC du defifous du coros^ compris J^cmtpTfmcs
pjjifcijeuu^m&^Ia ^uçue, d t iayc tianlvulalunuit < . '
L tlernières couleurs, & le MeuJrègne leul fur les .pame^l de la
^queue qui font étagées. Le deffiis du corps,, depuis rajâÿfLnte
du cou, & fe$ couvertures, des ailes les pluVivMunjSj, «font ^Cuh4
bnfn-rbu'gt^trc; les couvutuies les,plus éloignées (ont noiljçsV
ainfî que les pennes des’ailes ; mais quelques-um s Jcs-prcgnièrès.
ont de plus un'ctaclje BES^e/ cToù Wffilte'ufle'bande digagtte
^®)ulcuij vdent.elee-prpfondément, & qüi , courp pfefqüe patSTékS'
iment au bord deTaile repliée. Le bec & les pieds font bruns.
Cet'oifeau eft un peu pIuS gros qu’un merle Cndngueur
totale eft de 8 pouces, fa q u e u e ï b n Iup-d_e.;i 2 lignes, "
& fes pieds de 18. Les ailes dans leur repos vont quelque à la
teltipitié^Sla queue. •