H j .s stoi r e N a t ir'at à t x e
.d’invitations &. 'd’agaceries , ou plutôt cefl: par l’influence de la
Jd fe faifon, plus foute de» .que 'toutes les agaceries., que ce mâle
jfrçàd devient .capable .de s’unir â l’étrangère, -& -de ‘confoïèmer
aeeae jripèse .diadukère phjfique-^^Éwis tfàoet- E quïï àh
.dans la volière aucune femelle ;de Ion .elpèce. 'Les préliminaires
.durent ordinairement fix femaines, pendant lefquelles la ferine a
tout le temps de-faire une ponte entière d'oeufs clairs, dont CHe
Jia pu ofeuir h fécondation, quoiqu’elle n’ak -cefle de la
fdHieker ; car >oe qu’on peut appeler le dib^rtinage dans les
animaux, eft prefipie toujours iùhonionné au gérai bst'dgsfe
Nature , qui eft la reproduction des êtres. Le R. P. Bougot,
qui a été déjà cité avec éloge, a fuivi avec attention le périt
manège d’une ferine panachée, en pareille circonllance ; il la
vue s’approcher fouvent du mâle chardonneret, s'accroupir
comme la 'poule, mais avec plus d’expreffion, appeler ce m.æfe’*
qui r>r. pavoît yMit iVixiumi . qm commence^ënÆ3|f^grÿ’^
prèndre intérêt, puis s’échauffe doucement & avec toSfela
lenteur des gradations ( cTjfr il fe pôle un grand neanbrexlè
fois fer ëHe ayant d’en venir à l’aéte dédfif, «îaqué fois
elle épanoutf fes ailes & fait entendre de petits cris; mais
lorfqu enfin cette femelle fi bien préparée eft devenue mère,
il eft fort affidu à remplir les devoirs de père, foit en 1 aidant
à faire le nid (o ) , fort en lui portant la nourriture, tandis
qu’elle couve lès oeufs ou quellei élève fes petits."
(n) J al ouï dire à quelques Oifeleurs que le chardonneret étoîfun oiléaü ‘froid,*
rfAa parpît vrai, fur-tout dojfquon le compare avec ies ferins; mais ioHqu’une fois -
ion temps eft- venu, ii paraît font âniraé.;; & Ion. a vu plus d'un mâle tomber
d?épileplie dans lé temps où fts étojent le plus en amour, 6c où. iis chantoient fe
"plus fort.
' y emploient, dit-on, par préférence h mbufté 6c le petit foin. -
d u C h a R wÊs^mmamÊÊmk mm
api Quoiqtppes coa^^néuffitfentjKqu^mtuhjï^enti L ■ u^&jine
cojjfeille d'éÆ iûn^ajfcnnhlryC.LÜx^dW.'.qjiÀtlu tircs.do ü rai^p*
Æ^^fce^les * ly a r ilr : .■quwdj^ej<fe. deteÆ,ànsl'll^um^siy^à
réfultent . f^^W1W&%pfe'î^etIlL père
i^ a ^ S |p ^ é ;d u ;,lK ^ ^ a rjl|(isI^(miriui', de’ la?1en ‘
f®n,»mQt p u tlga>L^ii^tpg., é.. à leur mièie «pujXlt «qÏKjKhi
^®nntjjphi« hfitétti. tnoiçro?
p l i ^ & n g ^ t e m p s ? i t u u I av.i-uc.jiIusî d’iclafj
dmar^qu üsiaifeptç)ien| difficilement le ramagèl aptifitielj dô^mtre J
mufique (p).
(,,.,:C^7méri®jne -font pojnt infeconds, ^doraivrentià' '
ifefflâe.* les. apparier, arequine ferine^ fefewfiide sgnérattout-qui
ce mélange, fe rapproche feçfiblement
dû chardonneret (q), tant4 l'empreinte mafeuline a de prépondérance
dans l’oeuvra Je O t l Q J
Le chardonneret a,. leqvplj. bas. filé cqhnge rA r
& iIautiUant.cQ^^S*T&fî5f »
du moirièaUji^Xéft un o flirP lslif c^j^qrieuxq .sjil.fjéa, pas
•quelques, têtef o e ^ v o ^ t ^ ^ n v r e o u ^ ^ ^ M o n s à épHcfief-
pour, iç, tenir en aélion, d portera & »apportera lans;cëflè tour*
ffim qu’iMrouvera dans-ifcçagè. II né’faût raqgmmâie vacant de
^ett^^feieçe.Sjdans uhç|^ÿèré^^._càbarfs, p^W^feire -manquer
feutes les pontes: il inquiétera les couveùfes, fe battra avêç*fes
'rqâfe,..défera les nids, caflpra. ïës oenli/©n^nptVoHoit pa^j,
qu’avec tant de vivacité & d4pétulance les charaonnerets fuflënt.
(pJ Voyez ci-deflus i’hilti
(q) M. Hebert. ”
Bbbbb