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il B^ipatiroit qu’à fesnlàire. nicher- dans ..une .chambreÿ.cela enP|
poffible,, .quoiquon l’ait > tenté ■ plufieurs. fois ; fans, fecoès ; mais. il
eft.jplus;.ordinairev-& plus aile de.çroifer cette,race, avec celle
rfesiferins;’ il y «a-mne- fympathie- marquée entre fces.deux races,
au point que-fi on lâche un . tarin dans un 'êpdKji^qui® y ait
des «canaris en volière, il ira droit à eux, s’en.approchera autaril
qu’il fera poflible, & que ceux -c i lé.rechercheront auffi avec,
empreffement; & fi on lâche dans la même chambre un mâle .
& une femelle tarin avec bon nombre de canaris^ çesnd^rniers ;
Gommée on-la.déjà,remarqué, s’apparieront indifféremment entre
eux, & avec les tarins (g), fur-tout avec la femelle, car. le -
mâle relie quelquefois vacant.^
Lorfqu u n , tarin. s’ell apparié avec une femelle ..canari,« il
partage tous fes travaux avec beaucoup de zèle, il l’aide afficha-..
ment à porter fes ' matériaux du nid & à les .employer . .: & )»e
rvdTe7ie,/p î - , la nourritnre tandis-'ucpi^elkavuMcrve-y-mais
malgré toute cette bonne intelligence, il faut avouer que là
plupart, des oeufs - relient clairs. C e n ’elt point allez de l’ûnioiï
des coeurs pour opérer la fécondation, il faut de plus un certain
accord dans les tempéramens, & à cet égard le tarin elt fort •
au-deflbus de la femelle canari Le peu de métis qui proviennent
deiléùr -union, tiennent du père & de la mère. '
_ En Allemagne *.;îe' paflàge dés tarins commence en oétôhre
ou même plus tôt; ils mangent alors les graines du houblon au
grand préjudice des propriétaires; on reconnoît les endroits où
• (g) Le R . P. Bougôt,. de qui jm.ffn s .ces, faite, , ;
femelle tarin êîré.(réguii.èFemént trois'pontes par. an
les quatre.années fuivantes faire deux.pontes par an
é&Él morte.
} cinq années de fuite une
c. le même mâle .canari, &
e un autre mâle, le premier
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fur la^®yg^fàt^ine;^on,enjâSoirvéÿljlirfs dis4wËlsVxliL'idcièx.
cqç-ts,^ plus«, quiwfe^|^pîÂ'tfni! fun kofi £u<j
s’éldtgnent queJ*tr^srpq^>'‘B fe ^ è îffu re iq fe ii^ 'd ù 'v in g t jours,
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Le tarin de Provence diflfèrefprajtee ténsfeqjlqh’il jell un
h ^ 4 p lu fs 'grand, v&^d!u'ti, îplus‘fiffica^auucf(l?^l'^ll îfôjfû q>c titc
varpfé^e climat
s» pes ^eâjéaux né joiit.^point.. rares ^ l ’Angleterre,! comine^T
eçbyôit Tuiiiesr ( /foipiunu iïïit4aî!&T( mps. <lii„jyffige tdiâmoÿ
_ ailleurs; mais il en paflè quelquefois un très-grand nombre, &
d’autres fois très-peu. Les grands paflâges ont lieu tous les trois
C ^ t e atre ansj^oh en voit alors .desunuées .qugÿRud^es-uàs ’ tM?
crut,^fèîtée§|par J e vent H
^..SLefemage, d îta rin n-’elLmoint d é f îg r^ d f ^ ^ iiq iJ tr^Ç j
inférieur' |qcelut$du chardonneret «pi’il^g approfaie, cfit^ten jf'
aflèz facilement; îiFs^pfoprieroit de m'éùfex,celui du.Tarin
(Z) Friich, à l'endroit cité* « '
( i) Note de M. le Marquis de l ’jîdquc'.
"'•ëüf-pÀ^j^î' <<l!l ®*r 'k Wiliugïihy, J>aget CepSriîàntiîes >ÀUtfeiîrsMir
la Zoologie Britannique, avouent qu’ils n’ont jamais vu.* cet Jufent dans leur pays,
d’où tqn peut conclure légitimement que du.moins il ,n’y eft pas commun.
(à ) Olina, Uccelleria, pag. iy . Myriades in Prufliâ capiuiitur in âreis, Klein., pag. ÿ ij..