'opiptces, quatre 'gfjlès^ingminales dtSïeni^fê réduire à uneL feule
îefpèoe réelle,- qui eft celle du friquet (d). , .
X-Lai prpttvë- qub’ paient- mûttugia ^»«fiibiheatl,. fou des
'■'Italiéns ( è k -çfMe friquet même,, ou tout* aufçlus^ffiet.fnnple vv
'variété de cette elpèce dont il ne différé que par, la diftriBution *
des cqiîffl^fee’eft. queisOImafe^l qui en ÆnjoeUa-. defèfîptiom
<Sl la fig u r e n t pôfitivémeîit, q u|i^ia JJnpm'mé pajjerd mattugia, •
. ;Bjpineau fou,-, parce qu’il ne peut reftenun feul- moment fàhs
remuer, Çg)}>i A deft -ib ce même-imouvement .continuel qu’on '
doit,', comme je l’ai,dit, -attribuer l’origine-de fon-noùufrançois,-
î^e pas plus que iîngulier que çgt ©jfeauyü peu-rare
en France, ne-ife-trouvât point ep Italie, Gomme l’orît||crit-nos*.'
Nemendateurs modernes qui n’ont pas recorinu.que le moineau '
^ £uu d’Italie étoit notre friquet! il paraît au- contraire ’qu’il y “a
plus de .variétés de cette elpèce en. Itaïjg. qu’en, Fiancjp
donc.répandue des .pays tempérés dans les pays, pîusj^apds,&
‘'•ibn pas dans les ckmats froids,- car on ned^trapÿefpom\X.dï',
-Suède; mais jSfuis. lùrpris que M .’Saleme .dife^ijudçet ’bifcap
D& fe» voit .ni en Allemagne, ni, eni'‘A;nglaéirè^p|tfq|iâ les -
Naftiraliffcs Allemands & Anglois en .ont donnéides .deferiptions,-'
A la figure. M. Frifcb prétend même qu^.Ie|ç^ e f-& le feriir
-. ’ p â ) No ta . Le moineau de montagne & le moineau à collier font le même-oilèau, ■
“ & Us ne diffèrent du fnquet que par un collier-blanc ou blanchâtre qu’ils portent au ■
. haut dû cou. ~
( ' ) P lle,,t sW »'.* i O hm , page 4 .6 , rvec une ligure. — P u f r flnlttts B011/10-
menfttm. Aldroy. A e i:, tome. I I , p age j t f j .
( f ) Pajfera montanina. Olina, page ^ 8 , avec figura.
p g j Paffer filveflris. Aîdrov. tome I I , page p d i ..............Rager,pujillus in juglandibus
iJegeas, idem, ibid. page
,dê‘Ganarie'‘pMvériî4‘ïîmuRA'produiic enumlïlê^ùiie’lacé bâtarde
&|qu’ëinJèn a ÆM ^reuVl tiV^lIumagne'i^tAy', ,
A Au ^fto^le.Æiqtife^,'.|p d ^ iu'f‘/pll|,s ‘‘Tcimnbr, cil ccpcndinÉp
' ptôms pf-tuhtÿ^midin-, familiei, moins gouimuidqiK I^moinc pj
c’g&unWéau plusf innocent Aujui ne fdfr tolt JtK
®amsf ri^pfeferâ les fruits, les graines faùv'â^ësfTeue#qffd|ceiïes
! ,|P p ||fâp rif ■l^È,I?qiiéI il le ppfç^^mK-ïf^Sr iûïngë 'auffi dès-
(WreCTey^n fîut lc;ftjoùfe A iS^mçoime dû momt au qui ü t
plu|î f p ^ A èfïus mécBanï qüe lui. Où ^eù#Mlevei cdvçage„
A l’y né'Ûrrif1 'c©mrrîe?lé ‘chairdonnereï, n. ‘vit bnjxmiili' fùc ans';
fort! difrït lefl‘ affez peu d^Wqp^ mais 'tour dnfi^-cnï.Jkdh foi*.
dc( igrc iblc tlu moineau. On ^oliluACrtjnè^cpu iqu J foit*WH É
<,jdqux- que le inkineatl, il n’efï cependant paÿ^uiflodoeile^rA
celàs;vient fqè fon naturel qui l’éloigM^,ué^ 1 Ifomme. & qui
pour ctfe un peü plùsfffikÿâ'gë, ‘ii’en è f f ^ a p ^ ^ ^ 'e ':iheiHeUri
Tome IV. B dd