3 : Ir2 ' N a t u r -e l l e I&è w ' ' P i m s , n Ml d ’A r w B n êÛ üBfe,
,çje anêtne ^ cela eft au point: .que’ ï’oîa Ten’, peut 'tüg&Mouzê^u
quinze d’un feul coup de fuiH.
pâturait dans un champ, gsÉfont;aipe^-près la même‘1
mancetaU^que les -pigecjns-; jae«temps' ,en..teirips on ep, voit
qneïguigunS^fe pqrter en ayant, lefguêbif a i bientôt fuiyis de
çpuie ,Iâ bande.
I^ v ë a ro n t, jcgjnxne l’on ^ its iS e s ^pÿeatxx-,(.ÊonnnS ;.& répandus,
dans^nkc les partiesvae^KEprope, du moins; par ieuAs,voyages-;
mais ils. ne fe'bornent point.! l’Europ^ ‘M. jEdvyards en-a vu»'
qui ' v.enoient ,deî|a»fbaie .d’^udfqg;Æt|s le nom^à’èijfeaUx df ,
H gB B & bs gensqin^béquênteB^pteiamtrée, luijcg^afluré
K étoient des preniiers à y repaioître chaque* ann^e au retour
du printemps, avant mpm^que'Jes neiges fuflènt fondues
, La phair de^gmfbns d’Ardenne, , eft
fd] t .'lionne, -à -TOngc^f<Sc,;tper(2inem|njt’bi^d}e^^^oe cèîle du
pinfon ordinaire,-«feur pluînag^: .eft .aulGpIus.variéj^W^æéatle,
plus velouté»; mais ilys’en,Jaû| beaucoup'qu’ils chantent aufli-
bien: «n a. comparé' fein%ok à cette de fa chouette. à
réfffi^dn, çfyt b , ils ont deux cris, l’un efl une |f e
piolement ; fâutre qu’ils font ientenche étant pofés à terre,
celui" du traqiiet-; mais ii n’eft n^, auflx fort m auffi”
Lrÿonèncé.- ^Quoique',Tnés avehJfï peu de talens naturels,. <p
Mifeaux Jont.'.néanmoins'' fuïceptibles de talens acquis; lorfqubn
,4gs..-tient àv;pprtée.d’un autre oifeau dont de ramage eft plus
agréable, le leur s’adoucit, fe perfeélionne, & devient'fçmbiable *
( J ) Nat. Hiftoiy o f uncommon hirds, part. I l, pag.j
(m) îtçîoïi, Nature' des oiféaux, page 371» |
(n) Olina, page 32,