Provence.,'-ils lè réunifient en grand nombre ïùr-iïfes âpianclièr$<
JLorfque le froid eft rigoureux ils le pçhent plans
fourrés, &. toujours, à -portée. de la nourriture qui h$p*cpn vient.
Dn donne ^communément? du chenevis 'à cetp? que-l’oti tient en
càge'’^ ^ ' ï ï s vivent fort long-tempsQefoer?en -a vu-pri-à
IVIayence âgé. de vingt-trois ans : on étoit obligé .toutes les
ièmaines de rlui rogner -les ongles & le bec, pour qu’il pût
bbxre, manger & fe tenir fur fon bâton; là nourriture ordinaire
étoit la graine ,de’ pavots; toutes lès plumes étoient devenues
blanches, il ne voloit plus, & il reftoit dans toutes les lituatiops
qu’on',;vouloif lui donner; on en a vu dans le pays que j’habijè
yivrêr^izfe à dix-huit ans.
Ils font lùjets à l’épilepfie, comme je l’ai dit plus-haut f ijï
-a là gras-fondure, & fouvent {a mue cft pour £ux pne maladie
morteilbf -
Ils i-flp- ta langnr» irtfin^°- p™ L»~ t, n„t
Wo ^ é fU/ ’ Jës bords .de-' Fmféricur ,rentrans.& reçus- dan| |è
lûpérieur;des narines couvertes de petites plumes noire* le-ifoîgt
%Éériéur uni au doigt du milieu jufqu’à la première articulation;
/ / ) Quoiqu’il foit vrai, en général. qui les granivores vivent de grain, il n’eli
pas moins vrai qu’ils vivent auffi de chenilles, de petits fearabées & autres infèétes^
'St inertie queceft cette dernièrenpurriturequ’ils donnentàJeurs pfetits. ils'iuangerit
aufli avec grande avidité de petits filets de veau cuit; mais ceux qu’on élève,
préfèrent au bout d’un certain temps la graine de chenevis & dé navette -à toute
autre nourriture-,
( t ) On prétend quelle eft occafionnée par un ver mkee :.8t long qui Je 'gjtipr.
centre cuif & chair dans fit cuifiè, & qui fort quelquefois de jui-tn^më en perçant
la peau, mais que i’-oilèau arrache avec Ibn bec iorfqu’il peut le iàifir. Je ne doute
pas de lëxiflence de ces vers -dont parle Frifch, mais je doute beaucoup• .qu’ils•
(oient une eaufe depilepfie.
fu) Les jeunes chardonnerets font moins alongé à propo^ion#
& lofl-gld’u'ftrpfed:'ra&Blqfroriiih.'fl-f.uJtrfr» r&jfligi..
une véhicule dû- fiel; le géfier mufculeux.
ifongiu tu? ilr-ul(iai,ig^j^ôîl|(.v^quqfljnà,drgri(v^
bec, fix ^iguss^-vol, Tnur.H;ntnifawo.uc.^v. tguimyn ihhvvi
U Iu ,c f lrc om p o le ( .'j{ tâ ifouze p i nm •., Llnjtf p e i d f l o m i c 'l j l k f t tk>
y |j|p p e le^jjSÇ^aàiTOon di\,a»tc^i5(^ li^5flgj^
-'-vV-A R bÉM'iÉ-'s', ■ ■Jtiis- C H A À W ■'
Ç ) t y Q lç p & c e t^ o jfeau
auffi promptement que la ImaÈtc^icoj ,ty,
qjuqy\e .JuSpilraitions.jq^idc'hiblfts. 6 fréquentes, comme il
, arrive à tous les oifeaux qui vivent en domefiieité. J ’ai déjà
variétés d^age < ^ ^ ^ ^ ^ è ôm " iîp ,^ i^ raÉ s d tâ& q n c e s
fo ^ i .’cgjàn t £ujîi> itnb're
:_Jk djftdbujjpn, A
& quant à la .tein^M ^ou
fëraîj^^n^mici quille#. ^g^.pâfa-ÆMÆ 1 fai
.ob^rvqeç. ou^ql® <£ Jjûi
mejwipifltnt nctreypourla plupyt^quoiks t^^ÿipiIivitliîaOi
& purement accidentelles,
É f e Ê É J t ^ t® '4> Pls a“ R » ' ' ’iit’- « t qiMo.
! ertice fitfco) dont parle (|eih 1, ' ir la foi d'un ouï-d ire , (page ia-jt ; ; comme
®™e jâtee diilinéte de la race ordinaire, ni des variait rapportées p; r M. Saierne,
d%près ffitjGIAtukS? de
i’aile ; ie charfîonttki^ qui a la - barbe niÉre'; --té cùrfelt|u^^fdh. fe
& qui'#; de chant Nat.- d e s rim
cit^ygojpt 'Honjîpiqi.^façafhes, tels,, que . Vj’^üî/jiiu vhhrîft
t tome II, pa^^Hi|ÉaS
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