feulement f e r ^ g e 'de là tête., mais la, belle pla!ju%.ftftine di|
les ailes H H H
, V III.^L e C h a rd o n n e r et noie, à tête ora^ gêr.
Aldrovande trouvoit rççt j oifeau ■> fi, différent- çiijrdonneret;
•^finaÿ^-Lquii le regardoit, non comme étant td?; fe .même
çlpèce, mais feulement du.- même gehre;il étqit ;plus gros que:
le Chardonneret-' & auffi; gros; qfie le pinfoR; .fes yeux étpienji; '
plus grands .à proportion ; il ayoit le deflùs du corps- noirâtre,,
la. jfcgte de même co^eaaï:,|^@e^|éL^pie feifgiîife antép§t^é,.rpj?ès;
dubèp, ^étoitr entourée d’une zone d’un orangé vif; la pôitrine-
& les couvertures, fiipérieures. des ailes, <fi$o nfoir-yerdâtre.; fe:
bord extérieur des pennes des ailes de même, avec; une.ibabdS:
d’un *jaune-foible , & , non-d’un, beau .citron çpmjneÿdfflg- le
chardonneret; le 'relie des pennes noir y yaHédâvifaneûceflfiSflfey
1^ mieue noires, la plus e^é^üreibords? de
le ven/re.- d’nn eendré-brun.__ .
•MTCe n’eft point ici une altération i dej couleur
fétat^le- captivité: i’oi&au-avoit été pris dansdi^gOÙWfffiSifil;
Ferrare, & envoyé à Aldrovande.
IX. Le CHARnONNERET^tVÉÏTIS M È Onia5 vu beaucoup-,
de çes métisjt il ferait infini,& encore-plus inutile d’en donner
! : ffl^T'.'Æ JèüïAOrdo-avinm -, pag. p.3. - 4-4-
'( l) CardueU congeiter, roftto fafçjoja ?crj)ced circünideno". Aldrovande, O.rmtfiol ;
tom. II, j>ag:i Bpig—80-3. Wiilughby^ OrnUhol./^.^ ^8
i CarAuelis mgra iâerocephalos, G 0 le chardonneret .ijtoir à tête jaune. Édjfon I
tome 6 iv ' -•
( $ T k tànane-gôMjfindi y Je chardonneret qui tient dû ferifl des Canaries. Albik',
tome, III, n.° 7 0 .
Carduelis hybrida H j Je chardonneret mulet. Brijjoti , tome III, page-, 62.
iD U f C H A R rt) O Ï k k WÊÊÊm
3 fp tout^|wde(ciîi^M*»Ge prédire,,èn génsraïp^ldï
^ u ’^^HeptMenÊ pJaH->;au „pèüe ’,paæ{déMeàît^âités^&>'à la m è ^ l
par le >rel3;@^fa®rps4feojofij|iSi'!6éJai^ lieu dans fleàï mulets ’ des
quadrupèdes. 0 "ê 'fi'êfiipas! qne«Teÿ^^^e, ^bfoluxnent ces .métis
comineïae vrais mulets; fés|mulets Vïô^èiit^d^'«fpÉii£>.Æçc^-
différentes, quoique voifines, & font îprefquM^rMfeSlérifcs;
Üu Iieu’fipic 'T?s .'frfitrs rcfulrans ’ de" I .u c iSipli*xîu.ut*~
cfpèa ‘àgraimoiev, tJs ‘q u ^ k ^ i t ' u 4iîr<1onm Ktv ViVju'rVf
«tariiis^^Éüà'ns ; ^insttps -, fout ^féconds & f w B B f e ‘ikffez
facilement voftMtgijs. fes {>joura'.v",ÏI ('pourrait doné"
le faire que f S q u ’ctn fappeîje; differentes plpèCfÿi^panni les
'grkîiivores ne fuffent.'eif^effei .que des Tacd^ÿoeÆsrpajipâjtenam
àvïatmême efpfqg, & que leuif* mélanges me fuffent -réellement'
^tetet^ora^emensfeb - r a c e s , l e »produit efttoferfej&onnéj
Comme' il târfive^’ordinairemeilîrY^^Bfr rSnaŸqtie en effedvjûÿ'
b s plus grancls, plue fol te, qu’lis Tattt la dvdfi 'pltll
ici ffcfüe'-ydej,'SiVHes v-.psHg^cQnri i re
quelquejdmle', il faudrait* .querides^mateers a a ^ f a f f e n t l l I ^ P
expérxemesP^^ies^viffent j^TO u cHés 'peuvent
-A ^-pbut prédire, cefftms.pl^ on s’occupera d 5 o iië ^ ^W ^
leur^muitiplication, du mélangé tnij^alutôt. du craHêm'ènt -'des '
racesS-di-verfes, ,plijs..^pn multipliaa les prétendues d f coe gO n
, Commence déjà .à trouver dans les "campagnes ‘^ ’vcSfeux^qui
ne.Teffemblent à aucune des elppGes connues.-J,’en donnei’ai’un
exemple à l’artide -du-tarin. ,
Le métis cTAibin provenoit d’un mâle cbaidéaneret élevé, à |
la brocbett;e}j|ySc jd’qnç ïemeîïq canari; H^avoii, fa tete, de dosé