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vu .ces càfeaux viv-aijs &. on les nourrit comme, les ferifis. M.
Èdwards en;a donné" Jâ defcription'&
mwry, planche X L ■; & gar îa lignification de ce'mot, il
pïéfumesqoe loiieaù eft'des Indes, & nofijgas de là Chine (w |,
NoW-feüffions adôpté^oe.nom go'wry qu’ffporte fîans fonipays^
natal, .fi celui de Jacobin n’eût pas'déjà prévalu par lufage.-
Qn -voitr dans la mème,planche 1 3 9 j .Jîg- 2 , & dans la
planche. i j j , .fig- 1, la repréfentation de deux autres Sfeâ^^j
qhe les Curieux appellent Dominos, &, qu’ils' diftinguént des
Jacobins; ils en diffèrent en, effet en ce .qu’ils font plus petits,
mais on doit les ççuafidérer. comme variétés dans là m êm e ^ fè ^ a
Les mâles font probablement ceux qui ont le ventre tacheté,:
& les femelles l’ont d’un gris-blanc uniforme. Ori peutÿon la
defcription de ces oifeaux dans l’Ouvrage de M. Briffon, depuis
h page 23. p jufquà la page 2 4 4 ; mais il n’y a pas pn mot
de leurs iabitudes jatureHes.
X V I I .
L E B A G L A F E Ç H T.
C ’EST un oifeau d ’AbyïEnie qui a beaucouprapporitr;
avec le toùcnam-courVi; feulement il en dificrc par .quelques
nuances, oh par quelque diftribution de couleurs. La tachempire
qui eft des deux cotés de la tête, ^^Ve-dans'Te^bag^cM-
fufqu’au delïus des yeux: la marbrure jaune & brunemma- parue:.;
fupérieure du corps eft- moins marquée, & les grandes cou vertures
des «des , ainfi que les pennes de ces mêmes ailes & celles' de^
( f ) ‘O*1 -oifeau courj, parce que £on prix ordinaire ne'paflè pas un coury,f
ç e û -à - dire, la valeur d’uné de ces petites coquilles qui fervent comme*. monnoie'
donc les Indés : or cette morindîé n a point cours à la Chine.- -
y <SU‘ÖT4 t 'r t j * V ' ■* SUjC’/fafttfo. ' 7 7 .
la fjuejïe,1 font c l * - ' C ^ c - t uilcmt^
J K dsq'aileÀ’, tdaTjs.le^Lf^ft; du
B*peu -,prt* aUrîmJiW^.t5ill 1 queue.- ,
Le baghlè'ùfu j e u t o i t n ; a m : - * f r g i u \ r pajp
m p re o â t^ te -mdüftrieules, qu’jl’f f ^ c ljt^ ^ ÿ g à tantir fe&ipeu||‘
dW tniA
.upe;?ÿ^e'.di&;epfô ; il ên.ipirSà'pèu-pièi.'^ffind .
S^^txfut'ïltj.ijklu ffi-j^ n nnK}lc d<)U-ri un*coiu\ 1 ifLxtrunmi
d’une . pètifeù Branche au
donnante; dfefim^omieit'uin ^iHdtfnuntiiw^m^e^duvtjjK;^
r Ju" (o r a m à là^pIiiiU’.
dm mjfei^Kauiclit il' non huit muit {intriiLVa^
pRfimnikito, în^is j^ 'iAlifei^H ^kT ondu’iaàttte- Ils .rdjfférenïe'è
F Â ^ ^ n n i u u x 'qui- djciclient les ccub ■< tk^.bao laictIit.-pu^
s’en nourrir.
x v i i m
‘ " G R l f ± S - B X j b ^ A B Y S S J 'N J i E .
^ f ^ ^ ^ ^ p d r ^ nnfe^^raüxj^^s'-TO^fedar-eaeaxi-ifAbvflinie qui
Itui'7d l T t n l & t nut~niaidériftsmej'riëpvép:faire par-la.,,
tufli p ^ \L giofllur tntulrfdkiiut*
corps: II a l’iris rouge, le bec noir, ainfi que le dellus & I jî
J . . (.) ta c , Il goig< & li, pomme, u 'r tf lL 'J u i^ lo u - . <kt
H M ^k^jamjicsié®. la paître kpciicuic ,Ju c01 p%T1j3Ei' jJunc*
clair mais qui prend une teinte de .brun à l’endroit où 3
s’approche du noir de la partie antérieure, comme fi dans ces
[ endroits cés deux couleurs fe fondoient en une fi ul< ; les plumes _
fcapülaires font noirâtres, les couvertures dés ailes brunes bordées v
de gris, les pennes des ailes & de la queue brunes bordées de--
Hfeuné., & les-pieds "d’un gris^roùg.èlxre.“ i,