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il eft'prefque' par-tout d’u^i noir -brillant, mais ce nôir-fâft égayé
par d’autres couloirs;, fiij le fommet dèiîa .tête,
d’un feuve jaunâtre ; furlà poitrine, par deux marqués de, cette*-
même couleur, mais d une, teinte plus claire'; -fuß îe^erpimion,
par une tache de eettë même teinte; fur les ailes, pamune digne
Manche qui les borde depuis leur origine jufqtPau pli afiqfoignet
ou de la troifième articulation; & enfin fous les ailes, pib-lé
blanc qui règne fiir toutes leurs couvertures inférieures; en forte
qu’en volant^ cet. oifoau montre autant de blanc que dêiaroirt •
ajoutez à cela que les pieds font bruns, jSoe foi Bec meft-’qüê’
noirâtre, ainfi que les pennes de l’aile, & que tofifâyces pénfaes?i
excepté les deux premières & la dernière, font d’un fauvcqaîjh
nâtre à leur oôgfoéi mais du.c^té^tëneür^tilément.
Le merle de Surinam n eft pas plus" gros qu’une dduptte ; là
longueur totale eft de 6 pou< e sM, Ion vol 'de"9,ÿfiV]UcûeTOèpp.
jvnn - pi S ^ -fon pied de' 7 à -8 ; enfin
fes üles dans leur repos vont au-delà du riuGèîTabd^gueue.
X X X V I.
L JS P A L M I S T M (P) .
L ’hABITUDE qu’a cet oifeau (pl. g g 9 , fig. r j d<||g’ tenir &
de nicher fiir les palmiers, où fuis doute il troü\e la,npuintuie
qui lui conviait, lui a fait donner le nom de palmifte. ^àfW-olîeïjf
égale celle de l ’alouette, là longueui eft de 6 poucea ‘ ,-lon ImF;
dé io là queue de GO, & fon bec de‘ 10-lignés.
Ce qui-lé fait remarquer d’abord dans fon plumage, ceft
une elpèce de large calotte- noire qui hji defeend de part &
- ( p )(Je & -fa. quarante-huitième grive de M. Briflon, qui a le premier décrit rcel’të
efpèce | tome I J , page j 6
r> w s 'tM'gs E t r I ä à. y 1 19
îffiutre, plus'-bas qfïesfo&iî®eillés, & qui» troîk
marques blan:el~^Æ|^raprès duÿ front y unîv autn, ^tu - dTflîis ^de J
ia.il’,‘,$&’ la tioifiuîjt jiu dcfloijfo le c®tsHt*ëendidiren -foi Mua
dans iqtfece qui' n’eft’ paMt^m^ëçf^par ydtçe 'c([iip®^)riii.e, il
eft blamàS^pevantjj iinl^^ra: la g^^^lî^poitliric ÊÎl- tailfi’éü
& fojicfte diCdefimb du corps gus-blanc..Le!diffus du coïjjs| •
compiis le ^petites couvertures dcs&ùLc.s Je là
ïjueucj^Stacfun beau v u t oli\c; V^C’( | i i v l t y ^
dlès^ëlï. à tS pM è s de la nu'me^^CTB, étî^rjUle^.t.li-l)] lu#*
ces ‘pênness-'llns leüif*fèBOMisYtendent^^^Mku-derà>du‘\-t^fieit
la qui uc ,W3§ben & I c pj ^fy>|mMècCÿés. f;*
'dont M. Btiffon a fair unc^uncf!« focce ’•yM-paf-
■ ‘miftè n^diftèi.6'abfqlument du 'piécçdcuj^^^^^j^yprè.
tlà calotte au lîuTOttio noire a i enjici, a une bande.cfo ei-odie
fiir le fommet de la|refo, ^^qtçnï,a^ uÆp<|^mMim\dè thlanc
■fous fo%)]q)s!f>iflais comme“*,!5< s J * ' v'y£L j .
ï'^oftîtlàis, qjiu'duis tout IcfVuFt iiluj*jCTtmTl puiaitc nient
■gué la ^.fonpti'fohVd'c-l’unt ne ut convenir àç'L’autrp d § m ;
lün mot, & qu’il, vît dans Ierniême pays, je. ne puis m’cmpècliér.'
de regarder\res’"deux .individus roimne appai tenant à>la mund
éëfpèce, & je fuis fonté^e^' regarder le premier comme léùnal'çj'ii
,& le fécond comme la fenelle.
X X X V I I .
L E M E R L E V I O L E T
’ ■ R E B L A t $ C \ D E J u i D Â .
L a dénomination de ce merl^ (planche 6^-8i, un^ 'l
Ifoefcrtp'tipçl prefqùë'. .complette dètfon" plumage ; H?
m T o É e I I , page '301. C’ëft. JÊ. quarante -fepfième grive.