H ï X T O I R E N A'JTià R È L £ E
du coips & les éôtls fbfrttacKetës 3e brun fip^un^nd'plüs dair.
M. Edwards^qui nous^a Iar vengoline, qui.
en a -donné la figure au bas de la planche 1 2 9 , in c lin e ^
croire qüe^eeft la femelle d’un "autre ioifeâù; repïéfenté au haut
de la même plandh e : cet autre oifeau ïèffi appelé négral ML,
tobaque, & ion chant approche fort de celu^dç.. la vengoline.
.Pourr§d% j’ayojreque, le chant de celle-ci me fait,dôuteï^|
que qp foit une femelle; je croirais plus volontiers que- ^ ( ^ t l
deux ™âips de -la même eipèce jamais-dè dimats différais, dans
leiqnefs,Chacun aura été. nommé ^ é ia ^ e n t;S p ^ Iu i^ iÈ ^ îju e
ce fcpt deux mâles du même.climat, dont l’un ayant été tlf\é
dans la v d ^ e , aura perdu l’éclat dç fon.plumage, &,t.jàu.fred.
n’ayant été .pris que dans Cage adulte, ou‘n étant relie que- pcq
de temps en’ cage, aura mieux confêrvé fes couleufs. Les douleurs
du titgral lont en cflet plus ruhes & plusrtEdn<htes que q ^ x d e
la vÉngbline. La gorge, le front, le trait qui pàffe furdâJpe^Xï,
foat'noirs; les joues blanches, la-poitrine [e defîSüÿd^
corps d’une couleur orangée fins mouq^igtures 5; - & .qîii/deyient
plus foncée fous le ventre & fous fôjaeué.'.Ces deux oifeaux..
font de la groffeur de notre linotte. M. Edwards ajoute qu’ils
en ont l’oeil & le regard.
I I.
L A L I N O T T E G R I S -D E - F Ê R (cp
Nous devons la eonnoiflânee dê'tfet oilèau à M. Edwards
(b) m . Daines Barrington prétend que la vengoiine efl fupérieure, pour le chant,
à tous les oifeaux chanteurs de l’Afie, de f Afrique& de rAm&ique, excepté
toutefois ie moqueur d'Amérique.
(c) The Greyjinch d’Edwar ds, pi.
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