B»h I H ZjS Tip I Ri El, AT A TfUrR E L L E
^Provence, "en Languedoc, en Catalogne, & probablement dans
iqüs 'Ies climats de.icette température. Néanmoins il y a des
.années où il -oft fort .rare dans nos; provmces méridionales . &
particulièrement à Marlèille. Scan chant eft agréable >& varié,
Ja îfgméle-.eft inférieure, an mâle & par le chant -§£ par le
•pJumagp La forme r la couleur , ïa Jâ Tfi^üi^re
du venturon, & .du .canari Jont .à peu - près .les mêmes, à la
Æfierence feulement que le .ventmon a ie corps lènfiblement plus
petit, i& gûèrJoà chant n’eft ni fiLeaumi fi clair (g ) .
Le cini ou Jèrin vert dé Provence, plus grand rque Je
vcnturon, a auffi la voix bien plus grande; il eft .remarquable
paries bdles.couleurs, par la force de.fonchant,& par la variété
des fiais qu’ä feit entendre. La femelle unjpeu phçs grofle qufe
Je anale & moms chargée de plumes jaunes,, ne chante pas
comme lui & ne répond, pour amfi dire.,, que p^rgonofyllabes,;
il fe nourrit des plus .petites graines qu’il t t o u v e ' - . â ;
-H vit Jong-temp en cage,.& fembleJè plaire-à çô|é ;-dü chaff"’
donneret, il paraît lecouter & en emprunter les tacäsens,, qu'il
-.emjdoie.agréablement pour varier fön ramagé.^ÆJ. Iflèjxouve
non-feulement-en Rro-vence, mais encore en Dauphin©,-dans lè
'Lyonnôis ' ^ , en Bugey, à Genève, eniSuiftè, en ^.Uemagne^
dans ie Boulenois, Vularino; à Naples, L e quitta; à Gènes, Scarino ; dans le Trentin, -
Gtrineüa; en Allemagne, Citrynle ou Zitrynle; à Vienne;,, Cifril. - - -
• :{ ( f ) Extrait, d’un Afónoirer quiiaccoHipagnoit un envoie corifidérable d’ôilèaux.-qui
'm’a été >par. M--Guys, de. l’Académie..de MarfeiHehomingdelLettres,rconnu
par'plufîeurs bons Ouvrages particulièrement 'par- fon Voyage,de^Grèee.
té/T Voyez les Amuièmens innocens ou Ië'TarfâiCQiréleur , pagê * fi.
(fi) Extrait du Mémoire piécédentvde“M/Guy&- .'
. jÿÿ’/J ai vu dans la campagne, en Bugey & aux environs de Lyon, des oileaux
-.n M H i w m
enJtaIie/,^^p ag rîe |^ ^ tG ï|& rtJiii/em e ^ ,iif<.i'ii quorfefroniipîs,
.en|®ëwgogné‘ foi^j^nô^ScIteiyëwn?, dii ri |
L :pïantés ■ leii0ng;'d.ésfefi|i‘êi!es' ; c\3S é | ® i j | p | s t 1 “ ■
pf,j|;..^IjifiïérMiir'. &y dehoi,, Gcisbrium, qjjgg
" feux ^nviiorf^qA^ickilL^ d.in nq|[}rtnm«.S
■ff^P^nales’ jifCpifeiâ.
; ^ptentriônales. 'M i Lo'ttmge^ p a lg e . en
';jLorr^ine:<£ji|
, - domininte du yentiiron'; 'contrite du^cpû-, eft,i|jm I
'.^ertrftune fur%idfeffisis<|ÿ c o ^ '^ d ’^ iam e ^ e r6 tfiM fe ^ .tr^ t
- ,màis le cini' p $ s 1*gràécLitjue le'vehtùrcsn ïenfdiffère êtrcoreipa-^
’ tune couleuïsbruîie qui fe trouvé jfar ladlicst'ïongitùimïiks^fiif 1<^
’c ô té s du'/côfps &par Ondes aii-defliis ^,v>iudiui-|p-iè ILin, nonejj’
‘ oii k - loit, \ . y * $ $ £ 1$'»«; j’en ai
. vu auffi à Genève dans des rages, & leur ramage ne me parut pas' fort â g p fe ite
H h H | H H 1. îpjxÿfepèParS’JdfewJ d e H A ç r t j R e c p l $ r
_ général à Dijon,
, beaucoup (dît’îe Parfait Oifeieur
«Æ^pV's’^Wgffir, kf,^rail!fe'«gùeUr & ia" iongs||^fe%?r Çmage
' qu’ün pr ( ncT. un obftade L ce qu’ils deviennent gras. On les éli ve c in; des cage < ,
ou dans d ;s ch imbres préparées & expofée i a i Levant, ils y couvent trois f i
l’année, depuis le mbis d’avril jufquau moi <U ut^
: eu- le chant de ces fériris d’Mêmagne qui font les mêmes que ceux de Suiflè ou
de Provence. quoique fort & perçant, n’approche pas‘^ ® Ç 1^ O T ® ^ ® |g r e ^ r i t .
fe Jfarfèiui; deSj'fëriÿst dej Canal ie.
^^^^Qn»i?a|pelie'^Èàgjpîrne,Gmari de Montanya; ea II hi WA ti’Acrtzeib,
F i mÿMeinfette,-'Faàenk, auïe environs de V^nne, Mpr derk
Voici une bonne defoription du Cini qui m‘a'_été‘çjiyoy& par M. Hébert.
Cet oit u cil un peu plu p tit ip’iln feri i C nu au j lel 1 II __il I [ , l ,
f"■ c^^KVp%flffeent ie même plumage quJl|e.'foite de fenn.-qj-i’on agpefie
& qui eft peut-être le ferin naturel & fans altération; les variétés font dues à *
& « i e devant de & tête, ie tour de? yeux, felfeflôùs de la,tête,