Ü / ƒ / STO I RE N.A T U R E L L E
dans une cage , fans boire dç;vi®, die fepritjfes plumés f g j j
Gettê petite anecdoteinoys bâre deux choies à remarquer, l'effet
dit vin iùr. les plumes des biléaux , & l’exemple d’urié Irtotne
appriyoifée, ce qui eft aflèz raie; les grives, comme je l’ai dit
plus haut, a® lé privant pas aifément^ ;;
Plus le temps eft froid, plus.les Iitornes abondent, il femble
même quelles en. preflentent la. ceftàtion, car les.chalTéurs & les
faabitàns de la campagne lont-dans-J opinion que tant qu’ellest le
font entendre, l’hiver neft pas encore« pafle. Elles fe .retirent
Pété dans les p»y* J« trorcï, ou elles font leur ponte & où' elles
trouvent du genièvre en abondance; Frilch attribue "à cette
nourriture fê3Sjh gout'qu’ii reconnoltclans leur. .clair^^h^’âTOue
qu’il ne faut point dilputer acS goutÿgjnais au moins puis|jè
<jire qu’en Bourgognéçette grive palïè poïuTun manger allez
médiocre, .& qu’faigénérdl le fumet que communique le genièvre
eft mêlé, de "quelque’ amertume. D ’autres prétendent que la chair
dé la litbrnè n eft jamais meilleure ni plus füceulehte jpp^âaHs le
temps où die .lé nourrit de’ Vers j&. d’inlêétes. .
La litome a été connue des Anciens, . feus fe nom de, turdus -
pïlaris, non point parce que de tout temps elle s eft prife au
lacet', comme le dit M . SafemeYfpftear «ctte propriété ne
Fauroit point diftinguée des autres efpèces qui toutes lé prennent
de même; mais parce quelle a autour du bec-des efpèces de
poils ou barbes noires, qui reviennent en .avant & qüLfartl plus
longues que dans la grive & la draine. J1 faut ajouter quelle a
la lérre très- forte, comme l’ont remarqué les Auteurs de la
(g ) Fauna Suède a , page 71.
(h ) Frifeh, article rela tif à la planche 2 6 . :
( i) Hifloire Naturelle des Oilèaux, -page 1 7 1 .
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Zoologie Britannique. Frifch rapporte q u e fe fq u o n met les petits
wd&'^4«Jdraine,;dans 1©. n id 'd ^ p , liton^'^lfc^siîtlcîs jjflppte^ les
nourrit & les mais
de cek 'jéY'VVGsmme. 'peut jgffiénp de
tii çi^o^^mùleK^lu mélange « Î P ^ s ^ ^ u x elpeclafj carjpn, ne;
s’atfpïFpas làns doute à ÿêjh éâbre une'rar^mîiujdfc J il. mélange
de la pofiti &. duujm«iidÿqi:j ^ p ^ ® a i t ^ r F â i v a u 'J i js ,com,ci^
,’Qe ^‘çannetons meqéesîfe'âçYéés