trouveraient eux -i^Kioes®jfei’’étorent élevés pqr fours pères. &.
mères'dans i’étati-de nature &. de -liberté; mais étant c<mtrafot$l*t
; nourrissp^E-inôuS,i& devenus plus délicats, îa mue qui pour les'
>®iJî^ux: Jibres n’eft qu’une indilpofîftcih, un état'je finté moins'
parfaite!! '.deyi|apij^ùr--ees, captifs -une^maladiè! grave 'fe^gs-r'
^ b v ë ftt fùnefte, à laqueEe même H y a peuHde j-emède^^M
Au refte, ïa mue »eft d’autant moins dangereufe quelle arrive; i
plus y tôt ,Scëft-à-d&e''eit meilleure Mon. Les jeunes, fejns
muent-’dès la première année, fix femaines après qu’Hsîfont nés;
ils deviennait «triftes, paroiffont bouffis & méttèntfla tête dans
leurs,plumes, leur duvet tombe dans cette première mue,.'&
à la fécondé , c’eft-à-dire l’année fiiivante les /groffes,plumes ;
- même celles-des ailes & dé. fa queue tombent; lessjeunGsJ^âSx
<Ies dernières couvées, qui ne.font nés qu’m-feptembré'ôu^pjus ■
tard, fouflrent donc beaucoup plus -de la mue quç. fflliyî
>foiit nés "au printemps; lé froid eft 'tijls‘-'contraire' £ cet état, &
ils périrokmt tous fi ori n’avoit foin demies stenir alors/dans un
lieu tempéré & même feiifibluncnt chaud. Tant qiÿr'dureyla
mue, c’eft-à-dire, pendant fix lèmaines ou deux.ffi^^, la Nature
travaille à produire des plumes nouvelles1, & les-"»molécules "
• Organiques <jui étoient précédemment employées !à';-faire. le ■fojj.d
<Ie la licjueur fominale, fo'trouvent àbforbées pour dette. autre
production.: c’eft parvcette raifon que dans H ivmcinc'temps de
Pour-la mue il faut un - morceau d’acier, & nori ife' f e r, dknsjeur eau, vfojïsfij
fa changerez toois fois pair femâine ; ne feur Stame ir:^JMftmà.utrês reMë4es;g [
M.—Hervieux nous efl indique 'de plufieurs fortes, iï faüt feulement inet^e- uh- peu
plus de chenevis dans leur nourriture ordinaire pendant, ce temps -critique. ./Vba?
ùohiiîmmquée p a r Je JR . P . Bougot. Obfèrvez que Ton ne recommande dei^racier au
lieu de fer, que popr- être fur quomïie mettra pas dans l'eau du fër Éondiii qui
feroit plus de mal que de bien»
0 u e ïéstoiletîix ip 'fôXliuèlieht m -n^f^cpujikntjjk
^ -ficn t Je
vSfe dcptMtoufealte'^Pfoefoin pou^^Ljilm îK<ïÇit-pmniuui jiia a™
'\&utres.c.irt’'*r '■ •
oLaJjpîadie la .DÎûs f uneffle’i&ia,tdusw!ajiB3k&c|-.^^^Maux; ^
(.f t j f T 1? l 'f ^ / ^ l ? y i1?Tuflfefeii^qB
iflct W W tu i
l’extrémité de leur coips On les voit à travers la peau du
,3* 'nncld inTuuictattdmtljJUin mon, i’Jokiou^i.tù <>n.l
viesfplHmesjid®i, cette partie ccffcnt dj^ à jm e x & _ ù t ^ Æ | f i | |M
fÿiSôrjti^nê" niiy^e plus ]d ‘
tvtnfin il m e u r t . l a ^taiRrVSfiviulalyj
pftajaçtrt»p^giandeljqupûtéffi>u
nourritur^g®®iÿie^r®lGp^'e.''-T ou0j^ëmèd.€s»iM ^ iMMi
il n y lS q q S r a r h diète qu’on peut fauver quelques-uns de
un ir.rèsprtari/U-IÆ ^ . > 0 n mit l^&iL,<-W
^ a e. pure fcparce, .nn fa(^êWoijuie.<rui ^ f lV a iy ^ -^ lg ^ u i i^ ^
f m ::1aiLue'.dî(.ette nourui tuie ufiailf i i f l a n )-.
iaidiur^qui le gjnlnmg^&jgj|)ci( pKl^Jois* des|K^ciutjww
r[MÎ. InrJ-imÀf l r S c . Au relie \ O rp a îr J n ^
§ yraqo^^maiS’de,, l’art que nousfmetiwiist, .kôUvij 111 aafosix,
car ilSefl: très-rare q r ^ ^ ^ quon Im T ^ ^ ^ ^ ^ ^ I e ^ r s ^ p ^
& mère' en.foienî/atteints. T îü ’.i u ^ d ^ i’i^j^oii la plus«»gêar®^:{
attention a-nt Icui donna ct^ trè^iiculde Srofc,,cn^èaKl|\ahfflj
^'illà^brocBette;- de iMi^ette.ffiouiffie. vun ^ÆcvfiSôùron (Se ^
point, du tout .de-forre ni de bleuit, &,’en toin^plu
ît 'ûj^^trop' de^nourrtture.
' " X ^ ^ S l e form ’fait un petit cfi’ fréquent, tTut?Èai«rt
.du,, fiaS dé la pôïi^ine, on dit ^ftE^atiqtie^; if eft