- oifeaux (T ^ fip e '■doivent '"être t%Sg$é ~ '^ n ^ e 1‘3ê!‘EmpIes»
| variétés- dansJefegjis du moineau' d'Europe. \
I I I .
E P Ê R E N O I R .
VOICt maintenant des oifeaux etrangers dont l’efpèce, quoique
ï voifine de celle de notre moineau, nous, paraît néanmoins en
différer allez pour leur donner des noms particulière. Par exemple,
| i’oifeau d’Amérique auquel les hahitans de nos îles ont donné
; le nom ,de Père noir que nous lui conferyons,- n’eft pas .préd-
• fément un moineau. .Çet oifeau eft repréfenté dans la planche,
! 20 fia- *■> 3 paraît qu’on le troiiye non-feulement dans nos
;; des, mais auffi dans la terre ferme du continent méridional- de
! f £ m 6 ^ » f «snme au Mexique-; car il a été indiqué par
. Fernandez, fous le nom Mexicain Yahud tot&fcûk), & donné,--
; par Hans Sloane commeroifeau de ia~ Jamaïque- 7"TŸôus
préfumons auffi que les trois oifeaux repréfentés dans la planche.
2 - 4 ’ pourraient Lien dette que des variétés de celui-ci; la,
feule chofe qui soppofe à cette jdéfomption eft qujls fq
trouvent dans des climats très - éloignés les uns des autres ; ils ■-
ont été nommés au Bas dé nos planches, I, Moineau de "
Macao; II. Moineau de Java} III. Moineau ^Cayenne; ■
néanmoins ils ne nous paroiffent faire que le même oifeau &
nette que des variétés de l’efpèce du peie noir; car quoique J
ces noms de climats aient été donnés par les Voyageurs qui ont
apporté ces oifeaux en France, 'je ne fais s’ils méritent toute]
confiance. D ’ailleurs il fe_ pourrait auffi que cette efpèce d’oifeau -
(a) Yohual totoll, Fernandez, H ijt. Nov. H ifp. page 49.
•: (b ) Paffer niger putiâis croceis notants. Sloane, Jamaic. page 3 1 1 . £ -
mbir-, Cf train *l itg''rcmuiicrd' jri lc.V’t-Jim fitirap*
K^ÎHihtins.'«
'< 'dndépendamxn.éri'ï flè Tt$ iraiVoifc^®^^'™ p iKSraymin rw
à l’efpèce du pi u non , ^j^|IinaïmJ£^*il'dmisi»jut
F puodKqii« OTe'nqfiïi,(piegsS^aiaL*ii.Lt^ de cette même efpèce.
L o i@ ijTO u ^nA u a^ ^ a n fû ] t™v pi t'L i iç 1 «Lun 1 r / n i /,
WÊÈÊÊm [e;mâl< <^j£h^-2 11 f?me 1k TOn/S?
,d~i• é > V i n o n , qupn ne |k
douter-qu’il nè fôff'de fBki efîSVi^'è'T.ffi im D cirn ^tfhtn-
prafqpe ,parfeÿè. ^ouve que]jdaufU(. h s
f qcMçhfs/de la 'femSfêp^|port?, différentes';, mais i^l
nous apprend combien peu l’on doit compte r fur la. i lifférenc e
||c?ès ' couk urs pour.rçbmfituer
EhBn/ il J une'^fpcce \oifinf IXK’uiiitÿ^p^inl.ui,
& ,q u ^ ^ îé !!ipourroit ,fè ‘djlgy^Bbafe^BWMi^ û fmhu(hait nu nt
L a'(çéHeidujplTblauür", 's ’il n’y asoit *p.ïs rcjrlàcn'nrêj
v dans (a îôngùtui de î'4Ppftucgf(^éfL f'INjilc aumeprt fl nté gBtnfflBlpJ
I pmTWfî^if 1/ , feus la dénomination <Pe ' oé'/nt/iv r/n,
* royaume île yùafe^JSog&ï'appeilerons père noir
parce qu’il nous paraît être d< la invme efpèce qur-Wm^eg!
, noir;éc‘ nen différer que | 3r -fifgquque quî^Dplu-'.Jongui &
crimpojéeldç’ pluint \ cfc, giandour intglTc* ('^),J^&dnsl^itnMWi;1
^ climats nous ont été fideltgiçnt tianfmis, lonlvoit qut ^îSLectrilU^
Ghçvâlier-Bruce après
' . p^)|m^tre le même <jùe Je^.jnC^aic^feyAbtfjËpiefef
\ Croix, parce q^tàrt^eXordinaireèiënf le
cette. coi^éepQiv>rt amioiicà. Ja- fin des pluies. M. Biaice a j^ âe qu’ejà^yoît aux fources
du N il, dans le 'même temps de la ceflàtro^l^^Rl4es^i|¥ 'ôifèau qui îeïïèmble en
d tout au malcalouf, excepté par la .gueliiek