LH A B E SCH D E SYRIE
mm le Chevalier Bruce regardé cet' oîfeau comme une
efpèce de linotte, & jeudis pet égard à un fi bon Qbfèrvateur,
de fai® point m’écarter dé fon opinion; mais M. Brute ayant
repréfenté 'cet odèau, avec un bec épais & court, fort f<mbfabfèM
â celui des ferins, j’ai cru devoir le placer entre lés ferins & les
linottes.
Il apfe,deflùs de la tête d’un beau rouge - viî; les jouis, la
g f e & le defliis du'cou d’un-brun-noirâtre mêlé; jfe réfte du
cou, la poitrine, lé deffiis du corps, & les jietites couvertures
des ailes variées-de brun, de jaune & de-noirâtgej. les. grandes
couvertures des ailes d’un cendre-foncé, bordées d’une coiffeur
plus claire; tes pennes de la queue & les* grandes pennes des
ailes du même cendré, bordées extérieurement d’un ©rangé-vif;
le ventre & le deffous de la queue d’un blanc-fSe,, ayec des
taches peu apparentes de jaunâtre & cfemoirâftêMtebec & t e
pieds de couleur plombée. Les ailes vont .prtfqîii jufîju’uu nuiicu
de la longueur de la queue qui eft fourchue. *,r
L’habefch èft plus gros que notre„ linotte, il a au/Ti le corps"
plus plein, il chante joliment: celj un oiféau de paflâge, mais..
M. Bruce ignore là marche, &.il affiire que dàjgjje cours de
lès . voyages, il ne l’a point vu ailleurs qu’à Tri] « h ^ jS ÿ r ie te jj
* M. le Chevalier Bruce écrit habesh fùivant l’orthographe A^glojie.
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