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OISEAUX ÉTR
Qpi ma rapport au M erle sôÈÈiïXiEEï •'
I.
L E M E R L E S O L I T A I R E D E M AN IL L E * ,
C ette elpèce paroît faire la nuance entre .potoe. merie'foïitairâ
& nôtre mené lie roche; eue 'a Ies..c©ufsui& ie^celui -rCi &
■diftriBuées en partie dans lé même ordre, mais éneTn’a pas Tes
aies fi longues, quoiqu'elles s’étendent dans leur repos jufqu’aux
deux tiers de ïa queue. Son plumage eft d’un ËÊh^d’ardoifo,
uniforme fur îa tête, la face poftérieure dujrbu & le do^pefque
entièrement Heu fur. le crc^ion ; moucheté de jaune Tuf fa
gorge,, fa face antérieure dû cou |L le haut de Jupoitiine, plus
foncé fur les couvertures âfrCfr-dF-S-^oprhetiircs {euh.
Hables, mais Beaucoup plus dair- fernèes, & qroîÿï®%içhgs
Hanches encore moins nomBreufes : fe refte du" deffous du corps
eft orangé, moucheté de Heu &. Blanc, I^grândes „pennes
des aies & de îa queue font noirâtres, & fo? dernières ‘BÇraéc&Jc
roux ; enfin le bec eft Bruny & les-jpieds prefque noire.
Ce foiitaire ( pl. 6 3 6 ) approche de la groflèur deVtfotro
marie «fe roche : fa longueur totale eft d’environ 8 p'oucès, fon
vol de 12 ou 13, fà queue de 3, & fon Bec d*un !Md pouce.
La femelle * n’a point de Bleu ni d’orangé dans fon plumage,
mais deux ou trois nuances de Brun qui forment entre eles
- * 'Voyez la flanche 5 fig.
Merle foiitaire de Manille.
à cette femelle éft rèpréfentée fops le nota de
Y I -1 ; H * 1 1 h
4fer/e lo iA a e e j T tà lf, de, A f r E