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*^jMBrf^TCta ^ ^ g ^ P ^ e a u ’x a'Ragüfe enT^Hmatie, ’’nous
ajteuffi dans Ie^S^ f e Æ éjorepWnt 5A
d(\>fôntc, de-^Gorfou, <X.c. 6l qü’on les îecherche IpaucoupiaP
caulè ‘de leur chant; mais'il ne s’çh^téoiivc poind
naturellement en -PïanÊl'1 ni en Italie cependant Iê ‘Bras xle nier*
qûr'fépare la.Dalmatie de Flaire:, '■'qfeft-'spoint ;tunè •%“R'i:èr'è^
-^WBSdhtaHe, fur-tou% p6u#f ëe§> oîfèâux j-Jqui, sfiîm^^jBBÎS^ \
lui - même,. volent BeSucoup -^lèux-^^Ie^éHë^df^raK;^ r Sz
Kvjuj^pu pi^ affir^^oeSoiâDït'Jàire iëîfïour 'Sd pënétfër^en Italie êfr
paflànt par*F Etat de Venife. D'^âïeuri1©5^ ^ Mt que5 ces- merfês
fe trouvent en Itafe;. celui que4 M. “BriffdRf^èèri^^i&^ajIi^
quê'-notSJ avons fait repréfenter (g l. i n i ^ o n t été1 toüideiii? .
envoyés “de" ce pays. M. Edwards avoit appris'
pûbli^B qu’ils y nichoient fur les i<jcfiei^ioeêjlj>leî,';('u'“dani' '’
, fe-vidiies tours abandonnées^^, &■ de':p[us il en'H tuVjûcN
ques-uns qui avoient-'étéTufetaux jgnyjrons Æ Æ b ra'tar
conclut, avec allez
le midi de TEurope : mais c V J à ) { ( tnâiWleW,
montagnes, car il efl tare qu’on i‘t montre-d ^ if% ^;st1li^ t'rln ^
k plaine, leur pqntt tft oreCnaiiimuit de quatre'ou nnq.0®$*-
& loir chair, fur-tout celle dês:qétaïls5‘paffè-’pour-s uief«VÿBai?.v
mangerq%jii-
- - Ch) M- Lottinger me parle d’un merle plombe qui paflë 1ms les montagnes de
Lorraine lux mois de feptembre & d'octobri , qui efl: alors. I ea coup plus’ gras'SV&d;
meilleur goût que nos merles ordinaires, mais qui ne reflèmble ni au mâle ni à la
femelle de cette dernière elpèce-LComme la nülrcc::t[iK'vj-;u; fep fftlë ’ cetvqîfëau ri’éCoit'
jxnnl accompagnée de defeription, je ne puis décider -ri doit êéfcripjoi-té comme
' variété à l’elpèce du merle bleu dont il femblé fe rapprocher par Je plumage & par,
fes m oeurs«
( c ) Belon, Nature Jes^0if0a x r page’ % r 7. , *,