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des moutons, ce n’eft qu’avec des*héfi§r5 étrangers quon 'p ê l |t
ém relever -les races, ‘o r jamais une' Êéle^-brebis 'avec 1É1 petit !»
’ bélier-commun ne' produira que des agnèabx tout àuffi commuas. :
H tfie -refteroh plnfieurs chôfèjs à-ffire fur cette madère impoftante,;
mais icï -;ëb- feb'k lè trop écarter de notre füjêtj aôntl néanmoins
1’àhjet Te plus intéreflànt, Te |>ïus5 ut3e pour- ‘de la
■ Nature-, ferait T’expofitiôndè toutes ïes otfervations qu’on à déjà ;
fàfces’ &:que l’onpourfoit'faiife encore lùr le-mâânge dira ’■$&■ .
maux. Gomiàe'beaucoup 3e gens ^occupent O'u samufent de‘Ta
multiplicatiüri' <fes feins & qu’éHe le fàit' en peu de temps , ’©fl i
" peut ‘ailemefift tenter un grand. nomBre d’drpéiiences fiir fedf« *
mélanges avec des oifeaux différens*, àinfi que ïur l$s,-p;rocIults
ultérieurs de ’ces mélangés ; je fuis perfuadé que par la réuniôri
• de toutes ces ohfervations & leur comparaifon avecceHès qui
ont^été fiâtes fur les animaux &' fcr
ïf||diÊac|ûiher peut-être allez précifément finfluehee fia • p^flânee
oflèâive du mâle dans la génération relativement à céffiM&*S
• femelle, & par conféquent défigner Tes râppôris 'g'énéraüx par
Ieiquefc oa pourroit préfiimer que tel maTe- convient ,ou ;dif!bïi-
| vient à telle Ou teft femelle,' &ç. '
Neanmoins fl pd vrai que dans les animaux comme* daiis
l ’homme, & même dans nos petits oifeâiix, la difconvenance dû
caractère ou fi l’on'veut la différëncé'des*' quàfiïésimOTàïes^ huit
"foulent 4-ïa convenance dés qualités phyfiques. Si quelque chofe
petit prouver que le oarâftère ell: une impreffion bonne ôù*
mauvaifè dcftmée-'par IaNature,f<§è 'dorîtl’éduâîion ne pèùt
-changer les traits, oè& 1’exemplë die nos ferins;'-«ils fôntpr^jf^ue ^
t> tous'(dit M. Hervieux) différens'les tins' des autres par leurs
» jndunàdbns; il y a dés mâles d’un tempérament toüjouni triftè, _
j p j e t ï S * E JR J X -, ‘
rarement &iU.»-*çfc^|jjt*fqpe d ^ i
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r,dattes-.& î^ a é f ^ .iïe^ llls I 1111
cm’ilsÀ&iréjQu^1 jamais,paw|ir.chant, m ê ^ .ÿ t|s je |jnp.s,<A
* .^ëÿîss^petits --wenpeiitàC^^^^jj;^^ÿj|paiii fâjMp^irs .ne
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& qultl n v ,a jfiutpvmu),< rw iCJc/dompta quen leur ciî?ï§
f J ^ n t '^ i i x ? eTfe^réuniront i ^ k u r ^ 6 ÿ |le omunum-, #
<É'layant-Ækbord;vainoi^àrpiu
i’am q ^ ^ ^ U yîii^a d’autres d’une inchnationtfi barËate^
(} ; Il arrive quelquefois que ces mauvais mâles .ont d’ailleurs d'autres qualités qui
réparent en quelque forte ce defaut, comme.par exemple d'avoir un chant, fort mélo- j
d’être f e r t # i j t e Æ é EtJP°ig I
VrêSl&i ni.^S'^l^fbhliuii'li / Auvflymçiu hr ■ .V *u,i |
’ quelques mois enfemble dans la même cage. afin queUes fe connoiffent bien ; & I
v n Æ T iS ^ ^ ^ r a i ^ a u ^ W fq,? I}es ;
fe battront pas. Un m o is de vant le U mps q ion les met < Hiver vc u vfc s i I ^
^>lk tdenx (Ut ulltâmemi caii m .& q -n i'' t?m (Ç .< lç )[J S a r è ;Æ jii^ f.ia i^ i‘
" .^ feÂW tn ê fc avec les deuf m Ê M il ne m a f ^ S |a s t d e ^ 3Sok?Æ W B ^ i'î
fur-tout les premiers jouis qnil fera avec elles ; mais les femelles fe mettant toutes deux I
4 d^fenfc contre lu i , elles pendront cerfeinpnent PaS M ^ S ^ W ? f t r 1?lui ;“r' ‘ J
uBtpouvânt’^ a f a a g n e e ^ ^ . 1
d e ^ ^ S t ||q ' ’c&id#t^'femelles qu'il les'Vaincraÿfih par fit [°rte? v | s
m tr J t^ fo n é rfultrfû-nt iouvent mtcuv q^l'au.rqui
fouvent ne produifent rien. Pour conferver la couvée ..il &ut dans ce cas oter je
— S oeuf l f l a W m aura pondu & .en mettre « M B
demaintvbùs ferez de fioeuf dan5.fe. mfme
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