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|g !^ Ie s;]^Hoe“atfMSs£3^nWeffii6rè'; & repaHfcvant èjïè
[fait là pontéid^^^aB^sp^ÈifentK'aujP’eçvircsisrâe Dantzick (dk, ±
dlu}jbÜ,«3t('he prèlqué jamais' dans ^èx^éptons 3 ' nont 'l l p f quen
Lorraine où elle arrive en avril & quelle abandonnef e r [a: fin
m cê'mêifte mois pour ne reparaître qu’uniutûmfe, qupiojueUëg
pût ^trouver dans les yaftes forêts de cette pmvjngfeflB^noumture
abondante & convenable; maistsù&moins elfe y fcjourne qüaque}
temps, auLeu-qu’elIe ne fait que gaffer en certains endroits:de
PAflemagne, ifelon M. Frifch. Sa^noumtuoe^qrcjinairei^c^font '
les baies & les vermifleaux, qu’elle lait fort bien .trouver en
grattant la- terre. .On la reconnoît à te qu’cJLiÿA.s plumes plus J
ïufbefes,. pfcsvpoES~qm^Ies autres grives; & à.5ep;^quelle a IfeU
bec & les yeux plus noirs que la gri \'c ■p^onîeme nt dttcj dont
elle ^îpîocËe pour la grofiêur, & qùpè-a inokis
fur.ja jo â rô e ,i elle fe :diliingfemêQr^gar la couleuL oiarig/e .
dûf- deflôus1 dé ■l’aile,-' raifon=pourquoi® oïl la~nomme en* plufreurs.
langue! fqSWÿ a auës rouges.
"Son cri ordinaire eft tan, tan.-, -ManJÇkaxti. e ^ f iS p a
aperça un -renard, fSri ennemi naturel, refféf&conduit-foq IbjnyT
oemme /font auffi les merles j en répétant tyujèjiîs le même c ii^
La plupart des Naturalilles remarquent qu’ellt'4i^c[îjiît^jpint^v
fcefe'me femMe 'trop abfolu, il faut dire qti’onvnc I entend
chanter datas les piys ou elle ne le^trouve pa-, dans la làdon» de/,
l’amour, cèmriae a i France, en Angleterre»-^e.?:Çfefre reftriéboiï -
eft d’autant plus néoefiàire qti’un très-fioïf Obfehateuf il
HeBert) .m’a affuré en avoir entendu chanter dans IL Brie* au >7
printemps; elles étoient au nombre de douze ou quinze lur un
arbre, & gazouilloient à peu-pres comme des linottes* Un autre ;
( Ü Klein, Ordo Avium, page/;i^ 8 .