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cependant le jaujtedéfaite . paraît de très-bjpne. heure;, ànfi:,
-ijuedes^ taches, blanches des pennes de 1a queue ; mais ces taches
leu fe d’un blanc- moins puv.^qj)^
- Les mâles ont'*ftte ramage très-agréable & dap-^çonnu ^ ils
commencent â le ' faire- entendra ---vërs. ‘ lest: premiëïsfÿ^Ks! du,
mois de.mars', & 3s continuent pendant la- belle- làifiS|p-ils,
fo;. ccmlèryent TOtêmo-' l’hiver dans les. poète-’•où. 3s -trouvent lit
température du printemps Çd)-. Aldrovande leur donne le féçgn.d
rang parmi’ les oifeaux- chanteurs ^ M . Daines fiapington
ne. leur accédé : que le fixième. • Ifs paroiffent avoir ’.plus
difpofition à prendre Je-chant du roitelet, que. cdùi de'tout
autre oifeàû; Pu;-0vvoit'deiut exemples^celui d|uîr joli-métis
forti- d’un chardonneret- & d’une lèrine, .pbferyé à Paris pair
M. Saleme {efc & celui d’un chardonneret -quii.^f0*^:|té., pris
dans le nid je u x ou ttois; jours, après qull ctcût éclos, cS^qui^a.
A ç !«■■■ M . Damrs Uauluntcai. C e dernier dhfe^atem'
dhpj^île, à là vérité, qùe cetbifeàu avoit-eu •odcaEon d’entenore
dûmter ua roitelet, & que ces Ions avoient -été, :lànsudoûtG,
l'Ü^pëoeSSs qui enflent fiappé fon oreÜfeydans feYtemps?^,,# ‘
commençoit à être fenfiblcau chant & japable d’imitation
. :majs
(c) Ohlërvë avant le i J de juin. J’ai auffi remarqué que les chardonnerets, tout
petits, avoient le bec brun ; excepté la pointe & les bords qui étaient blanchâtres
& tranlparens.-ce qui eft le croetrairede ce que l’on voit dans les adultes. .
( J) Frifcb, Oifeaux, tome I, pi. t , n.° 2.
J’en ai eu deux qui n’ont pas cefle de gafouiller un lêul jour cet hiver, dans une
chambré bien fermée, mais lâns feu ; il eft vrai que le plus grand froid nV çté.que
jfe'8 degrésc '
) Hiftoire Naturelle des Oifeaux, p a g e 2.7 6 . ■ ■
~ .{ f ï Ÿojej, lettre üir fe chant des oifeaux, du 10 janvier 1773. Tranfà étions
philolbphiques, vol. L X 1 I I , part. I I. Olina dit que les jeunes chardonnerets qtlî.
W Ê Ê m m M M w m m m Ê à
ttiàis 3 fesdfoa donc faire lâ-ffitêaie
M. Safeiïie, ou cdïiVén-trqu’S y a ttnerfiagîilière analogie, quaÉtt .
aux^gatids'de latyoifc-, entre 'chaïdonnerst:> g ,i
Oft otOit généralement en ‘Àtïgfeterr&, ‘que -te chardonnerets
dè la pt-ovincë de fe ftï 'êharfl'âit-pli^agrékblteenlt.^que'ceai:
de1 testes les affttes provinte.
’ Ces' difeâüx font-, -aé-ec t e ipififontŸ>«ëux<’qui favent le mieux
' 'conftrüirè Jèur- nid, \ cri,« efidret fa*ti%ApJi^^)lfdcîjî-itii.rdonHer
itoefonae plus-<aM‘ôiidïe,^&ldit ois voit mou s pteklçg-dnlj!j?.te
matériaux < qu’fis y -efflplôieiJît font pour fc-did3ë®s la-moufle
fisse, t e j Mens-, l’hépatique, t e joftes , les petites racines,-là
feoûiii’ê dès -ehaîdefasytiMit nela 'éMrefafie avec-feêaaeoiq) d :« î
St potff l’Bïtériéur, i’feerbe sèche, iè crin , la laine St le duvet $
, fis le pofci« f o r te ambres,.& par. préférence- f o r te pruniers &
t e hoyéEs; 3a chô^®at d’o rS ïàte terbtasches ftA te & ijfo;-
ont feéaùûOàp de mouvements .qacJqoc.fi*> ’ils Refont dans les
tjwtej. doutés fofe d ^ f e ju if lb iïs ^ ^ 0 jg |Ai&- ïpn Retend
que les jeunes chardonnerets qui proviennent d eoe s Heftriènss
-mel^es^%nt^fotapliimàgfe uri peu pius rembruni, mais qu’ils
font plus gais St' (diantent mkux qu'effos aUties: Dîina'dit la
même .chofe de ceux qui font n f s . c t e i s le mois d’août; f i 'ces."
remarques fout fondés* 3 faudrait-' éfeyer.,, par grgei;egce les "
jeuneschardonnerets éldos daiis le mois d ’août, -& trouvés .dans
kdes nids établis furqdes buiffons* *qj8nèux. La femelle commenté
.font linottes^ des fenns, ête, s’apprôprient leur
cependant
enfemble, le chardonneret a conlèrvé fon ramage pur, & que la linotte la adopté
au point quelle n’en a plus d’autre: il eft vrai qu’en l’adoptant elle la embelli.
(g) Lettre de M. Damés Barrington. Loco atato.