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VARIÉTÉ DE LA DRAME.
L A feule variété que |g ^ r a p |& a p s cetteÿÆece,., > J;’èjl;'lja^
dicàmê ilancMtrê dMèrvée par Aldrovande : elle av oit les
pennes de la queue & des ailgs< d une couleur fipi£fe, ïKÏpivlqîh^
blanchâtre, & la têtfe
,- II sfaut remarquer dansicgîte wîcimJ'a ^ itio îi d é jà yquleuif
^ksvpennes des’ailes & slodS^uuu^^^Mdk^LmiiiéjgTKht
ordinaïrêfoérit:- comme cuoins
étant, .p6ur,4Ùnfi,,direi de meîilèüî tfint- guè-toutes ^ s autres
plume«! ;
-jîglj^dois ajouter ici qü’d-y.Ji ,toujours désirâmes qüi rifohemt
au Jardin du Roi fur lèt aïbre$ effeuillés»:; elles - .pareidsnt »tcgsr
friandes de la graine d e i’i^ôSc en-mangent tant jjüe leur fiente
en eft irouge : elles font auffi fort avides la graine pda.
micocquli^r,^^
En Provence, on a une efpècerfd’agpëau»ayeç ‘fe^JtJfldnÿMie,
pen automne le chant que des draines & jeCgljt es "fbbt êbferidfë' 5
: au pi in temps; on fojcadie dans une loge, do .verdure,, d’wùU’îj»
peut découvrir par une petite; fenêtre ,ug&u perche à
attachée fur un arbre à pea-tée ;Alâjppeau'Sttiro les grives fur
cette perche où elles accourent croyant trouver leurs, femBIables jj
dles n y trouvent que les eiûbuches ^deWPh^nmle & la „îftcM ï
, >pn les tue de la loge .à coups Me fùfiL