H i s t o i r e N 'a \t u r ke l l e /& c.
■ ' Toutes oit prelque toutes ont lès bords du bec fupérieur
échancrés vas la pointe, l’intérieur dubec jaune, là baie accom:
pàgnée de quelques poils qp-foies noires dirigées en avants la
première phalange du"'doigt extérieur uni©-a celle du* doigt du
militai, la*partie fiipérieure du corps'daine-couleur plus rembrunie,
& la partie inférieure, daine couleur plus claire &
grivdée; enfin dansi toutes ou prefque. toutes1,' la queue ell; à
peu-prés le tiers de la longueur totale de l’oifeau, laquelle varie
dans ces différentes elpéces, entre huit & onze pouces, & rr’eft
dle-même.que les deux tiers du vol-, les ailes dans leur fituation
de repos,s’étendent ail mnins niiqii’à «la -moitié de la queuo, <&
le -poids dé^indmciu varie d’une «^èp^^aMtBa-derdtetflfônaaf
& demie à3 quatre onces (STflemTê. -V ,
M. Klein prétend être, bien mformé que la pârtié-' ièpten-
trionale de l’Inde a aiiffi f e grives, mais qjui différantes nôtres,-
en ce quelles ne changent point de climat (n ):
T, g'/gg!®ipèce®j^PI pla&'içi. la iprdfeaière ƒ îbgrite quSjjp .«a
aonnJlpTp notan^n.^Rr^^n’eOT^ue la doifième dans l’ordrfe
de la grandeur; elle elt fort commune en certains cantons.'<de
Bourgogne où les getis de-da campagne'lat^ni^ul&if jfnjsia^s
noms wÿ$&!r-iyeMej &• d e f J mauviette r/t/sejjg ,arri\fe,'i|ohfimairemei5it
•ckaquê^anrio^à peu-prés (au temps dgs i vpûdângési4,|t^Mf-fèmbf^
v^traydEtirée par la maturité i desygifins, St >t^Æip®ur cela lànS
^ u ï^ q u ’oiKtjai^d^mé I ^ ^ ^ ^ ^ g r zw W ,f^i8®«iyij|||Sfaro|t
aüxÿfgeiées Sa £ ire ^ p ime>,lSte:J”irifeis de , püIBS
■ * Voyez •fi un he . if où cette g ive eft n mi: ie 5 * f k titan ,
' ’ ~~ ?n Grec Ki; .V J J i 11 > JL~^ ,J
miu'or, Tûrdus mtijiais; én'Italien, Tarda mènmio; en Elpagnol, Zor^alMm Allemand,
'WhtatfelitmÉmÊiiieL .clpivligilr^Qu, lui H p m . 'îjiÆ
dtffiiSS$3fcéteS, ^iuMM^TOSroutejqudquefei^ jSîjijat^i |iti, lin Vl 1L <-*.■
1< >fo,iu, b «é, f \1 .'P Il 11 V J’j 1-
J||||jë ||; t z A Æltajifesi, 'ÿ!fc(0 k-^ TJ, i?H ’,a’
Gallois, 'Cethog bran frdüh, en Pologne, T'hvtyl, en Siwls^kÿm lerq-
*K t f t j tti a n„ 11 \j l 1 1 , / r f *, cV
•Grive, Sifelk, Vendangette, ( ipett Mai le M Sali nf Voyant que celle grive
s’apell il Mavis en Anglo „& Mamis en François, dans la Brie & quelques autres
1 Provinces,, s'eft perfuadé quelle devoit être le Mauvi des Naturaliftes, & i ®
. Viù'ïliVui jui. ,1 FJ 11 ri 1 'djniiiityi1SffljL'isûiijih .vûj ■ -ujL
o / 'y/'u r de ' (hjSiièîr- ] u 727*/ M jfijipil “ Ifftt co flpù , 1 jMu ce
oilèaux, ou même fur leurs delcriptions, lui eût fài <1 moîtrê que ie mauvis de
B e l o i i & le pli de îaife.orangé, en
dont M. Salerne a fait la quatrième efpèce, & non à là lèconde elpèce qu’il nomme
- petite grive de gui, laquelle eft celle de eet article, S a le deflbu de l’aile rouiEIre
: tnaftqm’peu au ciiÿ^m Woyèz ion f\ t n j i Q ^ l l < q i l ^ j
qui -avoit voyagé, m’a alluré que notre grive ordinaire, qui eft la plus commune
en Hollande , y ,était connue, ainfi qu'à Riga & ailleurs,nj(ii'lsi^^'^^a^|Knqi-;:e.
C’eft iapetite grive de M. Brillon &. fa deuxième elpèce, tome //, page 20g,