H i s t o i r e N a t u r e l l e , & c.
feît rejwcftntâf dans fen Mftoire de ïa Caroline padopte
cette, dpnoîrûnatiQi} d’autant plus, volontiers que la litornç fe
trôuvant' en Suède, du moins une partie de Tannée, elle àjbién
pu paftèr d§ pottç continent dans l’antre & y produire des
nouvelles.
La Borne de Canada ( p l. j y 6 , fig. i ) a le ïour de l’oeil blanc,
une marque de cette même couleur entre l’oeil & le bec, le deflùs
du corps rembruni, le deflôus orangé dans là partie antérieure, &
varié dans là partie pofténeure de blanc fale, &. d’un brun roux* -
voilé d’une teinte verdâtre; die. a auffi quelquesthoùehetûres fous
la gorge dont fc fopd eft blanc. Pendant l’hiver elle palîè par
soupes nombreufes du nord de l’Amérique à la Ylrginie &* à
ja Caroline, & s en retourné^"au pnntémpTTommé fait notre
litome, mais eHe chante mieux (e ). M. Catelby dit qu’elle a
la voix perçante comme fa gjivo :de guy, qui eft notre cfeàihe.
Ce même Auteur nous apprend qu’une de ces Bornes de Canada
ayant fat la découverte du premier alateme qui eût planté
dans la Virginie, prit tant de goût à fon fruit qu’elle relia tout
l’été pour eu manger. On à affiiré à Catelby que -ees' oifeaux
nichoient dans le Maryland, & y demeuraient toute-iànnée. '
. t-'(h ) Tome I , page 2.9 .
: - ( c) II faut toujours le rappeler qu’o
>; quand on ne la pas entendu chanter ai
'niche point dans nos contrées. .
ni lut point comme it chante un oilèau
temps de l’amour, & que la litoiue ne